Eiri Kuragari [Médecin - Free-Lancer]

Invité

I. Identité

Nom : Kuragari
Prénom : Eiri
Âge : 22 ans
- Date de naissance : 3 janvier

II. Contexte Historique

Nationalité : Japonais
Famille : Un père, une mère, quoi de plus banal ? Son père, Ren Kuragari, exerçait le simple métier commun à beaucoup de Tokyoïtes : chômeur. Il ne travaillait pas, bien qu'il tenta de trouver un petit travail toute sa courte vie, pour finir sans en avoir jamais trouvé un seul ... Sa mère, Shizuka, était une prostituée, la seule chose qu'elle pouvait faire pour nourrir sa famille. Enrôlée très jeune, elle ne recevait que peu d'argent de son 'travail', à peine de quoi faire vivre sa famille. Mais suite à son métier, les bruits ont toujours courut. Eiri, fils de Ren, ou d'un client ? Le jeune homme a toujours démenti cette dernière hypothèse.
Histoire : [Prochain post]

III. Informations Complémentaires

Apparence Physique : Lorsque l'on rentre dans le petit cabinet médical, on peut alors apercevoir ce fameux médecin, sans doute le seul qui soit le plus calme de tout Tokyo, mais aussi le plus valable. C'est un jeune homme plutôt grand, sans l'être vraiment trop, et mince. Frêle, presque fragile, on se demande parfois, en rentrant dans la petite salle exiguë, s'il est réellement le médecin, ou un simple patient, attendant ce dernier. Mais les doutes se dissipent rapidement, à l'attitude qu'Eiri prend. Il a pour rituel de saluer ses patients en leur tendant une de ses mains fines, aux doigts longs, habiles et propres à manier stéthoscope, tensiomètre, et autre matériel médical de base. En revanche, le sourire n'est pas une de ses priorités pour dire bonjour ...

Néanmoins, il y a quelque chose de frappant dans son physique, quelque chose qui ne laisse personne indifférent, bien qu'il aimerait que l'on ne s'en soucie pas. En effet, sur son oeil gauche, un bandeau. Le jeune homme a perdu un oeil, il y a de cela quelques années, et il applique et sur cet oeil manquant un simple bandeau. Bien souvent, il tente de le cacher avec sa chevelure châtain, mi-longue. Ainsi, quelques mèches tentent de cacher maladroitement ce bout de tissus, qui reste pourtant toujours visible, malgré ses efforts pour le dissimuler. Son autre, quand à lui, est presque aussi fascinant que peut être étrange son bandeau. Son unique oeil est d'un bleu aussi clair et pure que l'eau d'une source. Et il l'est d'autant plus qu'aucune n'existe plus pour les Tokyoïtes. Un oeil pourtant souvent froid, un peu inquisiteur, comme s'il tentait de découvrir par un simple regard la maladie dont est atteint son patient, ou la réel raison de sa venue, si elle n'est pas d'ordre médicale.

Un nez fin, et une bouche bien dessinée complète le visage à l'air presque angélique du jeune médecin. Des lèvres qui n'esquissent que rarement un sourire, et qui pourtant, lorsqu'il apparaît mystérieusement, lorsque se peint miraculeusement sur son visage, l'illumine d'un éclat particulier, presque indéfinissable. Il a un beau sourire, oui. Et l'effet est renforcé par cette quasi absence, faisant d'un de ses sourires, un moment étrange, rare, presque magique. Rares sont ceux qui peuvent réellement bénéficier de ses sourires, sans qu'ils soient aussi peu présents, on peut sans doute les compter au nombre de deux. Maora, qu'il considère comme sa petite soeur, et Sobi, son assistant. Néanmoins, les sourires apparaissent plus fréquemment à mesure qu'il connaît son patient, ou la personne.

Et enfin, pour se vêtir, le jeune homme ne fait pas grand cas de ses habits. Il est souvent vêtu de sa blouse blanche de médecin. Lorsqu'il ne la met pas, on peut le voir avec un simple tee-shirt, et une veste, alliés à un pantalon des plus classiques. Pour lui, peu de bijoux et autres décorations, hormis son bandeau, sur son oeil gauche, et un foulard d'un brun sombre noué à son cou. De simples chaussures complètent sa classique tenue, à laquelle il ne fait pas réellement attention.
Caractère : Froid. Il faudrait être totalement insouciant, et ne prêter aucune attention à lui pour ne pas le remarquer. Les sourires ne sont pas vraiment son fort, du moins d'apparence. Eiri paraît peu chaleureux aux premiers abords, malgré un air angélique, qui fait qu'on se demande parfois s'il ne prend pas parti. On pourrait même avoir l'impression de presque le déranger en lui parlant, ou en venant pour une consultation. Pourtant il n'en est rien. Il a juste des difficultés, ou disons des réticences, à extérioriser réellement ses sentiments, et à sourire aux autres. Pour lui, un sourire ce n'est pas anodin, cela se mérite, ou ne s'offre qu'en certaines circonstances.

Plutôt nonchalant, il n'en parait que plus calme encore. Il n'est pas du genre à s'activer énormément, à moins de circonstance grave. Il donne l'impression de ne pas avoir peur du temps qui s'écoule, de s'en jouer par sa nonchalance, par son calme incroyable. Il n'est pas du genre à s'énerver, car il est également très conciliant. Au moindre problème, il cherchera l'arrangement approprié afin que tout le monde puisse y trouver son compte. Il peut donc facilement s'adapter, et surtout avec ses patients, auquel il accorde une attention et un soin tout particulier, bien qu'il ne le montre pourtant pas, par son attitude.

Il est très doux. Non seulement de caractère, pas sa nonchalance, et par son attitude conciliante, mais aussi par ses gestes. Il n'est pas brusque, prendra grand soin de ce qu'on lui confiera, et ses mouvements se feront toujours en douceur, sans aucune intention de vouloir faire mal. Il est de même pour tout, lorsqu'il soigne ses patients, ou même dans la vie quotidien, pour prendre ou donner quelque chose. C'est là que son côté angélique ne paraît pas être démenti par ses intentions et son caractère.

Mais malgré tout ceci, et surtout sa froideur, le jeune homme cache un coeur en or. Il aime les gens bien plus qu'il ne le montre, il est généreux, au point même de ne pas toujours se faire payer ses consultations, pour les gens qui ne peuvent pas payer, au point même donc, ce se sacrifier pour les autres. Il peut également se montrer adorable et des plus charmants, si tant est qu'il connaisse très bien la personne, et qu'elle le lui rende bien. Car malgré tout, il n'aime pas se prendre la tête avec les gens, et attendre de leur part en donnant tout ce qu'il peut : sa générosité à des limites à ne pas franchir.

Bien qu'il n'ait jamais réellement eut la passion pour le métier de médecin - qu'il apprécie tout de même, étant donné qu'il continuer à l'exercer sans jamais s'en plaindre - il est très soucieux de ses principes. Et tout particulièrement de celui du secret professionnel. De telle sorte que ses patients peuvent lui confier n'importe quoi, il le gardera pour lui, et ne le révèlera jamais, à moins que la situation soit très grave et qu'il n'y ait pas d'autres alternatives. Mais il n'est pas seulement un bon confident pour ceux qu'il soigne, il l'est aussi pour son entourage, qui trouvera toujours un Eiri compatissant, doux, tendre, et une épaule solide sur laquelle s'appuyer et pleurer.
Aime : Eiri aime les gens, et aime aussi ce qu'il fait. Il est devenu médecin peut être par nécessité, mais aussi parce que cela l'intéressait, d'autant plus qu'il y a perdu son oeil. Il apprécie particulièrement Sobi, son assistant, et Maora, qu'il considère comme sa petite soeur. Il aime les plaisir simples de la vie, siroter une boisson à un bar, faire une promenade dans l'unique verdure plastifiée de la ville, passer un moment avec un proche. Il tente de profiter de ces petits moments autant qu'il le peut, mais ce n'est pas toujours facile, dans un monde aussi cruel ...
Aime pas : En revanche Eiri déteste qu'on le force à faire une chose qu'il a refusé, que se soit lors de l'exercice de son métier ou dans la vie, simplement. Il n'aime pas ceux qui lui mentent, et particulièrement les patients : cela peut fausser son diagnostic, et risquer ainsi la vie de la personne, chose qu'il déteste plus que tout. Il n'aime pas non plus la violence, et la brusquerie, que l'on maltraite les autres, enfants, et femmes particulièrement. Il n'aime pas non plus faire les choses dans l'urgence, en devant se dépêcher, par crainte de mal faire ce qu'il doit réaliser, d'autant plus si cela à un rapport avec la médecine.

IV. Autres

Rêve, Ambition : Peut-on réellement penser que ce jeune homme est doué d'ambition ? Et pourtant, il l'est, juste un peu, car il est plutôt modeste, et sa situation lui convient. Il aimerait avoir un véritable cabiner, pouvoir soigner bien mieux les gens. Il aimerait également avoir plus de connaissances en médecine, bien qu'il en ait déjà beaucoup par rapprot aux autres. Quand à ses rêves, un monde meilleur peut être ?
Cauchemar, Phobies : Ceci, on peut dire qu'il en a. Sa première crainte serait de perdre son unique oeil, de devenir aveugle, et de ne plus pouvoir être médecin. Ce serait une perte énorme et tragique qu'il ne supporterait sans doute pas. Sa deuxième serait que la situation s'aggrave encore plus dans la ville, bien que cela ne semble pas pouvoir être pire. Il craint aussi qu'on ne lui vole un jour son matériel médical, qui est un bien des plus précieux pour lui. Et n'oublions pas cette 'traditionnelle' peut de la mort, sans doute commune à tous les mortels ... ou presque.
Groupe : Free-Lancer / Médecin

V. Facultatifs

Signes particuliers : Eiri, bien que médecin, fume parfois. En revanche, il n'a jamais touché à la drogue, et espère bien ne jamais tombé aussi bas pour cela. Ce serait alors le signe de sa décadence au point le plus profond.

VI. Hors Jeu

Comment avez-vous connu le forum ? : Pub sur Seika, et PAF, coup de coeur !
Que pensez vous du design du forum ?: Un très joli design, le rouge et le noir s'accordant bien à la situation disons dramatique du forum.
Que pensez vous de l'intrigue du forum ?: Une histoire et un style unique en son genre, bref, le coup de coeur.
Des remarques ?: Je crois qu'on s'approche à quelques centimètres de la perfection. =P
Avez vous lu le Règlement ? Si on pouvait m'aider à caler 'BloodyMary' dans une phrase x)

Invité

Histoire : Toute histoire commence par un homme et une femme. Deux protagonistes qui se rencontrent, et, qu'ils s'aiment ou non, créés une nouvelle histoire, en engendrant la vie. Un peu trop ... scientifique peut être, non ? Et pourtant, ce fut ainsi que cela se passa pour Eiri, ce fut ainsi que se passèrent chaque histoires avant lui, et ce sera ainsi que se passeront chaque histoires après ...

Lui, il désespérait de trouver un travail un jour, et il se promenait. Elle, fille de joie, travaillait nuit et jour pour gagner un peu d'argent, le peu que son proxénète lui donnait par jour. Et ce fut ainsi, par un pur hasard qu'ils se croisèrent. Un simple regard échangé, un frisson délicieux. Un de ces coups de foudres qui n'en sont pas réellement. De l'attirance, l'envie de connaître l'autre, de l'aimer ... Ce ne fut pas simple au début, mais avec le temps, les sentiments s'installèrent, les possibilités se démultiplièrent, et ils finirent par emménager dans un tout petit endroit très miteux, qu'ils payaient une fortune.

Comble de malchance, Shizuka tomba enceinte. De Ren ou d'un client, la question ne fut jamais résolue, mais le petit qui allait naître était d'ores et déjà dit comme l'enfant des deux jeunes gens. Il était impensable et hors de question de dire qu'il n'allait pas être leur enfant légitime. Et même plus tard, le jeune homme allait démentir toute autre possibilité. Celui qui naquit fut nommé Eiri. Un bien joli nom, pour un joli petit bébé. Déjà, il démontrait des caractéristiques qui resteraient plus tard. Il n'était pas agité, il était très calme, ne pleurait que peu, mais semblait pourtant curieux et intéressé par tout ce qu'il n'avait encore jamais vu auparavant. En revanche, au contraire de son caractère futur, il était très souriant, et très rieur.

En grandissant, il ne changea pas vraiment. Il était toujours calme, plutôt réservé, et apathique. L'agressivité n'était pas son fort, de même que trop d'activité. Il aimait aller à son rythme, sans se presser, et c'était ainsi qu'il agissait pour tout. Même lorsqu'il voulait jouer, c'était toujours sans jamais aller trop vite pour lui, toujours au même rythme, qu'il imposait. En revanche, il était de plus en plus refermé sur lui même, il souriait beaucoup moins, et était tout de même moins joueur, d'autant plus qu'il était exigeant.

Les années passèrent, et bientôt, Eiri atteignit sa dix septième année. Il était bien loin de se douter que cette année marquerait un changement définitif dans sa vie. Il était tard. Très tard. La nuit était déjà bien avancée, et ses parents étaient sortis, comme toujours. Pour une fois, Shizuka partit plus tôt. Entre la nuit et l'aube. Avant que le soleil ne naisse à l'horizon, comme il le faisait tous les matins. Ils rentraient, tranquillement. C'était leur petit moment privilégiés. Pouvait-on retirer ceci à ses jeunes parents d'à peine 35 ans ? On leur enleva bien plus qu'ils ne l'auraient jamais imaginés, et s'ils avaient su, ils n'auraient sans doute jamais empruntés cette route à une telle heure, jamais ...

Ils riaient, main dans la main. Un petit moment de bonheur comme en rencontre si rarement. Ces petits moments de bonheur qu'il fallait savourer, dont il fallait se délecter, il fallait en profiter. Alors ils étaient heureux. Les rues étaient à eux, ils étaient seuls. Seuls ? Réellement ? Et cette ombre là ? Non ce n'était que l'ombre d'une poubelle. Mais pouvait-on en dire pour toutes les autres ? En un éclair, sans qu'ils n'aient put entendre le moindre bruit, sans qu'ils n'aient put avoir le moindre doute, sans qu'ils n'aient put prévoir une telle chose, par quelque moyen que se soit, une ombre s'abattit sur eux. Et sur Eiri par la même occasion. Le lendemain, deux corps furent retrouvés dans la rue, déchiquetés, comme par des loups. Un jeune garçon à leurs côtés les regardait en pleurant. Ils étaient partis main dans la main ...

Après les avoir découvert morts, et après avoir pleuré tout ce qu'il put, jusqu'à ce que ses yeux soient secs, jusqu'à ce que son coeur soit dur, il dut réfléchir à quoi faire. Il ne pouvait les laisser là, alors il les amena chez lui, les plaça dans un coin de la petite pièce exiguë. Il allait falloir les brûler sans doute. Les enterrer était impossible, il n'y avait qu'un seul endroit où la terre permettait de creuser, et cet endroit était aussi désolé que son coeur ... Il attendit à peine une journée, et le soir même d'après leur découverte, les deux corps furent brûlés. Dans le médaillon de sa mère, le seul objet qu'il lui eut appartenu, il glissa une boucle des cheveux de ses parents, et quelques grains de cendre, pour le refermer, à tout jamais ...

Eiri décida alors de se tourner vers ce dont les gens avaient le plus besoin à cette époque : la médecine. Mais avec les écoles fermées, les livres inexistants, il n'y avait qu'un seul moyen. Voler. Mais ce n’était pas pour rien que l’éducation n’avait plus sa place ici. Ce n’était pas pour rien que la mafia avait tout supprimé, dans l’ombre. Il lui fallut du temps, et beaucoup de détermination, afin de trouver enfin une ancienne bibliothèque, ou du moins, un bâtiment qui en faisait office. Il lui fallut encore plus de temps pour se préparer, mentalement et physiquement, à cette dure épreuve. Il pouvait y laisser sa vie … Et finalement, il réussit enfin. Un jour, il pénétra à l’intérieur du bâtiment désaffecté, pour y voler quelques livres. Mais l’opération ne se déroula pas aussi bien qu’il l’avait espéré. Il fut repéré, tandis qu’il glissait un livre dans un vieux sac de tissu. Il eut tout juste le temps d’en prendre deux autres, afin de tenter de s’enfuir, mais perdant son œil gauche, par un couteau lancé dans sa direction. Il serait mort si la Justice n’était pas arrivée au même moment, sans doute dans le but d’un nouvel attentat contre la mafia.

Il fut sauvé de justesse et, avant même qu’il ait eut le temps de comprendre ce qui se passait, il s’enfuyait avec les membres de l’équipe de Justice. Là, il rencontra une certaine Shimizu, avec laquelle il sortit quelques temps plus tard, malgré leur différence d’âge pouvant paraître quelque peu élevée. Nul ne put dire si cette relation dura longtemps ou peu de temps, mais le jeune homme en ressortit changé. On put dire alors qu’il avait retrouvé son cœur, et qu’il s’était révélé être d’or pur. Ce fut à ce moment là qu’Eiri exerça pleinement son métier de médecin, après avoir étudier seul, en totale autonomie. Cela lui mit aussi quelque temps, des journées entières à travailler, à apprendre tant bien que mal ce que tout le monde avait oublié.

Il devait avoir 20 ans lorsque, enfin, il devint réellement médecin. Rapidement, il fut reconnut comme un véritable médecin, sans que jamais il ne dévoile son secret à quiconque, ni celui de son œil manquant. Et depuis ce jour, il est médecin, dévoué à ses patients bien plus qu’in ne peut le penser. Quand à sa rencontre avec Sobi, son assistant, et Maeko, comme sa petite sœur, c’est une autre histoire …

Quel délice ! Quelle fiche adorable ! Je savais que tu étais bien la meilleure personne pour ce poste. J'ai tout lu, sans décrocher !

Je n'ai vu aucune fautes concernant le contexte en lui même et tu as bien tout retranscrit. Je trouve dommage cependant qu'on est pas plus de renseignement lorsqu'il apprit la mort de ses parents (d'autant qu'il était avec eux, non ?). J'entends par là ses réactions, ses sentiments...

Sinon, a la fin de ton histoire tu écris "Maeko", il s'agit de Maora, attention. Quelques fautes de frappe (des "pas" à la place de "par" et une fois tu as écrit "peut" à la place de "peur").

Enfin, Tout est en règle, et ca fait du bien de voir une fiche pas trop longue (c'est un compliment ! [non pas que les fiches longues soient une mauvaises choses, attention, je m'y perd moi])

Pour ta rencontre avec Sobi et Maora, tu règleras cela avec par MP si un jour les rôles sont pris (et si un jour je les créais)...

Fiche VALIDÉE

» Tanaka Eiri