Le "Prince des Ténèbres"

Invité

Me voici, haha. Cachez vos sucreries et vos porte monnaie.

I. Identité

Nom : Hiroki
Prénom : Daikirai
Âge : 35 ans
- Date de naissance : 11 Septembre

II. Contexte Historique

Nationalité : Tokyoïte
Famille : La famille de Daikirai étant la famille Hiroki de la mafia même, et donc immense, nous ne parlerons que de sa famille proche, celle-ci qui était composée de 3 membres: son père, sa mère, et sa chère petite soeur, Jun. Dai n'a jamais entretenu de bonnes relations avec ses parents, c'était même tout le contraire; celui-ci n'existait aux yeux de ses géniteurs que par son statut de futur successeur, et par sa capacité intellectuelle hors du commun. Quant à Jun, Daikirai a fait de son mieux pour être le meilleur grand frère possible: c'est lui qui l'a élevée, au défaut de leurs horribles parents qui les battaient: il est donc très proche d'elle et l'aime énormément.

III. Informations Complémentaires

Apparence Physique : Daikirai est l'archétype de l'homme ténébreux. Plutôt grand, musclé juste comme il faut, (il ne sort jamais, mais se force à faire des exercices chaque jour pour garder la forme) c'est déjà assez pour faire rêver. Mais en plus, il a de fins cheveux ébènes légèrement bouclés, coupés courts, ainsi pas trop volumineux, et de profonds yeux verts pâle, dans lesquels on peur toujours percevoir les signes d'une âme fatiguée. Seul petit défaut: ses éternelles cernes, qui ne lui donnent qu'un air plus ténébreux encore. de plus, il ne s 'habille la plupart du temps que de noir, ce qui renforce l'effet "prince des ténèbres". Contrairement à ce que l'on pourrait croire, sa peau est tout le contraire d'être pâle: elle est légèrement mate, bien qu'il ne sorte presque jamais, et ne se l'explique pas.
Caractère : Daikirai a un caractère très spécial, et assez imperceptible. il ne sort jamais, ne parle jamais, ou lorsqu'il le fait, ce n'est jamais pour ne rien dire, ou quand c'est vraiment nécessaire. Il est tout le temps pensif et semble plongé dans un monde connu par lui seul, dans sa bulle. Pourtant, il peut parfois réagir de façon inattendue, surprenante, ce qui le rend si particulier. C'est une personne extrêmement responsable, qui prend les choses en main et sur qui on peut compter. C'est un as des échecs, il est très rusé et il ne vaut mieux pas s'en faire un ennemi, car il découvrira vite vos points faibles et la meilleure façon de vous éliminer, ce qui est très utile dans la mafia. bien qu'il soit un peu froid et très renfermé, au fond, Daikirai est une personne terriblement seule et qui a besoin d'affection. Il a un petit côté sadique qui le rend redoutable aux yeux de tous et se fiche de ce qu'il se passe autour de lui, tant que cela ne contrecarre pas ses plans. Gare à celui qui se met en travers de son chemin: il le supprimera avec une cruauté peu commune.
Aime : Sa petite soeur, Jun, seul membre de sa famille qu'il lui reste. Il y tient comme à la prunelle de ses yeux et a juré de la protéger jusqu'à son dernier souffle. Dai est complètement fou de sa cadette chérie, et ne cessera jamais de crier les qualités de cette poupée sur tous les toits. Mais plus encore, Daikirai aime l'argent. Il est plus pingre que l'on ne pourrait jamais l'être. Si vous touchez au moindre de ses centimes, il vous le fera payer très cher, c'est le cas de le dire. Il peut passer des journées scotché devant la chaîne de la bourse à voir si ses actions grimpent. En réalité, il n'aime ça que parce que c'est la seule chose qu'il n'ait pas perdu, avec Jun... Mais il a aussi une passion pour les romans policiers et les dévore à une vitesse folle. Enfin, il est accro à tout ce qui est sucré: il a toujours une friandise en bouche et pourtant ne prend pas un gramme. Il voue un véritable culte à Gin qu'il appelle "Gin-sama", dont il aurait tant voulu avoir la personnalité.
Aime pas :

Dai déteste les plats amers, et en bon fanatique du sucre, ça se comprend. A part ça, Il n'aime pas les endroits où il y a beaucoup de monde, ainsi il ne supporte que d'être en petit comité. Il n'aime pas être proche physiquement de femmes (par exemple être assis à côté d'une) et est assez mal à l'aise en leur compagnie. Attention, Daikirai n'est pas gay pour autant. A part ça, pour le reste, ce n'est pas qu'il n'aime pas, c'est qu'il ne s'en préoccupe pas. il ne supporte pas qu'on le réveille le matin, car on ignore les heures auxquelles il s'endort et se réveille chaque jour.

IV. Autres

Rêve, Ambition : Le chef de la famille Hiroki n'a plus aucun rêve à proprement parler, tous ont été brisés lors de sa jeunesse, mais on peut dire qu'il rêve d'une vie heureuse pour sa petite sœur (qu'elle le soit en tous cas plus que ne l'a été la sienne) et que la mafia continue d'amasser le plus d'argent possible... afin de régner totalement.
Cauchemar, Phobies : Le sang, les fouets et rumeurs de coups de fouet, tout contact physique avec une femme. Il cauchemarde sans cesse sur son passé, et revoit toutes les nuits en rêve Akatsuki se faire tuer sous ses yeux, ou bien sa mère l'arrachant à son lit... Enfin, il est agoraphobe.
Groupe : La Mafia (Chef de la famille Hiroki) Il gère dans l'ombre tout ce qui touche à l'argent sale, la fausse monnaie et le commerce en tous genres. (armes, drogue, etc...)

V. Facultatifs

Signes particuliers : Daikirai pourrait dresser une longue liste de toutes les petites choses qui le rendent si spécial. Premièrement, il ne parle pas beaucoup, voire presque jamais et a de grandes cernes qui feraient tout de même peur à n'importe qui (il a un air de serial killer avec xD). Il se balade tout le temps nu pieds (et non ce n'est pas parce qu'il est trop radin pour s'acheter des chaussettes) tout simplement parce qu'il n'est à l'aise que comme ça. Il ne porte en général que du noir, ou parfois du blanc, mais c'est rare. Quant à ses tics de comportement, il en a un grand nombre. Il a tendance à s'asseoir accroupi, même sur les sièges. Lorsqu'il réfléchit, il met constamment son pouce sur ses lèvres et joue avec. il attrape tout ce qu'il prend par le bout de doigts exclusivement, et a toujours une sucrerie en bouche, allant du simple carré de sucre à la part de gâteau. Il a toujours un roman policier dans la poche (pour dès qu'il trouve le temps de le lire) et s'amuse parfois à voir combien de sucres il peut mettre dans une tasse avant que la boisson ne sature xD

VI. Hors Jeu

Comment avez-vous connu le forum ? : Je suis admin ¬¬
Que pensez vous du design du forum ?: Géant!!!
Que pensez vous de l'intrigue du forum ?: Super
Des remarques ?: God Save The pim's
Avez vous lu le Règlement ? Bon code (En plus c'est le nom du flingue de Kuro xD)

Personnage basé sur L de death Note.

Invité

Histoire :

L'horloge tournait doucement, pendant qu'une femme poussait des cris de douleur, allongée sur la table d'opération. Tandis que l'objet émettait de légers tic tac réguliers, la riche femme était en train d'accoucher, serrant dans ses mains couvertes de bagues hors de prix celles de son mari. Son visage était crispé de douleur: l'enfant qu'elle avait porté pendant 8 mois l'avait surprise en voulant sortir plus tôt que prévu, rendant l'accouchement encore plus pénible.

Enfin, à force de patience et de douleur, son visage afficha un sourire satisfait: son fils était enfin venu au monde. Ou plutôt, celle-ci avait mis son fils au monde, tout en conservant sa veste Prada hors de prix intacte. La jeune mère poussa un soupir de soulagement et laissa les infirmières s'occuper du nouveau né, tandis qu'elle s'empressait de donner ses ordres habituels, comme qu'on la recoiffât et qu'on lui apportât du champagne, comme si rien ne s'était passé. C'était un pluvieux jour de septembre japonais.

Dai était né dans le milieu le plus aisé et le plus puissant de tout Tokyo, le cœur de la mafia, fils de Hiroki, chef d'une des quatre grandes familles. Depuis son plus jeune âge, celui fut négligé par ses parents. Ceux-ci délaissaient l'enfant et s'occupaient de leurs affaires d'argent et de leurs terribles complots, le laissant au soin des gouvernantes dont on ne comptait plus le nombre.

Pourtant, Daikirai était un enfant spécial, qui aurait du attirer leur attention. C'est ce que le petit garçon s'était toujours répété. Il était né avec une qualité majeure et dont personne ne s'était soucié: il était surdoué, et dévorait par jour une quantité innombrable de livres. Lorsque ses parents le virent à cinq ans en train de descendre le rayon sur la physique quantique de leur immense bibliothèque, ils se rendirent compte que quelque chose n'était pas tout à fait normal chez leur fils.

Ils le firent faire des tests: le futur chef de famille avait plus de 200 de QI. Lorsque ses parents l'apprirent par le médecin, ils se regardèrent un instant, puis l'enfant, et dirent, nonchalamment:

" Il servira peut être à quelque chose, après tout. "

Ce fut ensuite une course au savoir, un enchaînement de professeurs particuliers, de livres en tous genres et de leçons à n'en plus finir. Daikirai apprit plusieurs langues étrangères, le latin, le grec ancien, des théories de sciences à en devenir malade, une averse de savoir s'abattait sur lui, tout ce qui pouvait lui tomber sous la main.

Il entra dans l'université la plus prestigieuse (de toutes celles qui subsistaient encore), et obtint toujours les meilleurs résultats. On n'avait qu'un mot pour le qualifier: un Génie.

Oui mais voilà, cela ne suffisait guère à ses excentriques et puissants parents. Bien que Dai put combler toutes leurs espérances, ceux-ci le traitèrent toujours durement. Ils semblaient détester leur enfant, alors que n'importe qui aurait rêvé d'en avoir un pareil. Ils le traitaient comme un chien, le battaient, si bien que le jeune homme ne s'habituât plus qu'à se vêtir de noir, seule couleur sur laquelle le sang coulant des plaies qui couvraient son corps ne déteignait pas.

Il vécut reclus, de sa plus tendre enfance jusqu'à l'adolescence, et ne sortait même pas pour manger de sa chambre. Il se réfugiait dans cette pièce et nuit et jour, étudiait, étudiait, sans s'arrêter, dans l'espoir que ses parents cessassent de le battre. Si bien que travailler tant devint peu à peu une angoisse. mais il ne se décourageait jamais et continuait sans relâche, comme il pouvait.

Tout cela causa chez lui plusieurs choses, tant sur son physique que sur son mental. Tout d'abord, il avait des cernes énormes sous les yeux et se baladait toujours pieds nus. Il commença à avoir des tics très particuliers, comme de s'asseoir seulement accroupi, même sur des chaises ou des fauteuils; il prit la fâcheuse habitude de tout prendre par le bout des doigts, et de tripoter ses lèvres avec son pouce quand il réfléchissait longuement. C'était un garçon négligé, asocial, en un mot: définitivement spécial.

C'est également à cette période là que naquit son amour unique pour les sucreries, seule chose avec laquelle il pouvait se nourrir dans sa chambre sans devoir en sortir. Pourtant, il excellait aussi bien en sport, et donc, il ne prenait pas de poids, au contraire, il se musclait. C'était un as du tennis, élu champion du Japon plusieurs fois.

Il n'avait qu'un seul réconfort dans la vie, à part les sucreries et le sport, et celui-ci, ou plutôt celle-ci, vint un malheureusement peu tard: peu après ses 17 ans, il apprit que sa mère mettrait au monde un second enfant. Une fille. Il allait avoir une petite sœur. Petit être fragile qui en naissant prit la vie de leur mère. Il ne pouvait pas être plus heureux.

Dès qu'il tint sa petite soeur pour sa première fois dans ses bras, Daikirai fut si ému qu'il jura sur tout ce qu'il avait de plus cher (et c'était elle, à présent) qu'il ne la laisserait pas souffrir comme lui avait souffert à cause de ses parents, et qu'il la protégerait jusqu'à son dernier souffle. Il en pleura même, lui qui était presque devenu insensible. (I've Became So Numb) (Sbafffe) De plus, il avait une gratitude infinie envers elle pour avoir arraché la vie à cette horrible femme qu'ils avaient (eu) pour mère.

Délaissée comme Dai l'avait prévu par la père qui lui était malheureusement toujours là, ce fut ainsi lui qui la prit en charge. Il l'éduqua, s'occupa d'elle comme s'il était son père et sa mère à la fois, l'éleva seul, ou presque, aidé quelquefois par les nourrices au début quand la petite n'était qu'un bébé, et il la regardait grandir, heureux de se sentir utile une fois pour toutes, et surtout, vivant. La seule chose qu'il ne fit pas pour elle fut de choisir son prénom: on la nomma Jun.

Il la protégeait et y tenait comme à la prunelle de ses yeux, si bien qu'il recevait les coups pour elle, mais ne s'en plaignait jamais. Il préférait souffrir plutôt que sa chère Jun ne le fasse. Après tout, quelques coups de fouet en plus, qu'est ce que ça changeait?

Aussi insensible qu'on put le croire, Daikirai eut une histoire d'amour. Mis à part les gigantesques cernes qu'il avait sous les yeux, et bien qu'il fut un peu négligé, il était en réalité beau garçon et son style ténébreux plaisait assez. Autour de ses 25 ans, il tomba éperdument amoureux d'une camarade d'université: elle s'appelait Akatsuki. C'était son nom de famille, mais il le trouvait si beau qu'il ne l'appelait plus que comme cela. Et elle, que cela gênait, lui ordonnant de l'appeler par son prénom, ils décidèrent d'un commun accord que ce serait Aka, et rien d'autre. Et surtout pas Aka-chan. Elle n'était pas un bébé après tout. (Aka-chan en japonais signifie bébé.)

Durant les leçons qui se faisaient rares par les temps qui couraient, il passait son temps à contempler son beau visage. Il ne mangeait plus (même plus de sucreries), ne dormait plus, et ne pouvait cesser de penser à elle. Malgré tout, bien qu'il ait réussi à tomber amoureux, son amour restait purement platonique, car les souvenirs de l'ignominie de sa mère persistaient et le feraient à jamais.

Car, alors que Dai n'avait que 15 ans, c'est à dire exactement deux ans avant que Jun ne naisse, elle commit un acte terrible. Elle arriva à un stade de folie où les coups de fouet à répétitions ne suffisaient plus pour apaiser sa colère contre son fils, qui n'avait pourtant pas lieu d'être: elle décida de le marquer à vie. Alors que l'enfant dormait, elle l'arracha à son lit et le mit dans le sien, ce qui fut la cause de son premier traumatisme. Il ne put plus jamais, à partir de cet nuit là, avoir de contact physique avec une femme, sauf bien entendu avec sa petite sœur qui était un cas à part, et qui resta la seule qu'il put jamais serrer dans ses bras ou embrasser sur le front.

Bien entendu, tout amoureux qu'il fut, il cacha ses transports à son infâme père et à sa petite sœur, de peur que son histoire ne prit une tournure tragique, connaissant le géniteur. Mais un jour, Jun s'en aperçut, et demanda devant le chef de la famille Hiroki, car trop jeune pour comprendre qu'il fallait le cacher, s'il allait se marier avec la jeune fille.

Daikirai crut qu'à cet instant son cœur allait s'arrêter de battre. Il regarda, interloqué, cette sœur à qui il tenait tant et qui venait de l'envoyer à l'échafaud, puis, son père, le bourreau, qui semblait en le regardant aiguiser les haches qu'il avait dans les yeux, prêt à le massacrer. Mais pour la plus grande surprise du jeune homme, celui-ci n'en fit rien, mais murmura seulement:

" Tu ne perds rien pour attendre. "

Ces mots étaient pire à ses oreilles que le galop des cavaliers de l'apocalypse. Blême, comme si toutes ses forces allaient le quitter, il courut se réfugier dans son antre, et n'en sortit que le lendemain pour se rendre à l'université. Il ne put dormir de la nuit, son esprit intelligent repoussant le sommeil, occupé à échafauder des plans pour prendre la fuite avec sa sœurette et sa dulcinée. Dulcinée qui, le lendemain, était absente à sa place.

Dai n'en croyait pas ses yeux. Akatsuki était la fille la plus sérieuse et responsable qu'il n'ait jamais connu, et il paraissait inconcevable qu'elle manquât un cours. Et ce fut pareil le lendemain. Et le surlendemain. Le jeune homme était fou d'inquiétude. Il était dans une angoisse constante, se disant que son cœur pouvait lâcher à tout moment avec tant de pression, tant il était stressé.

Malheureusement pour lui, ses petits projets romantiques n'auraient jamais lieu. Alors qu'il sortait de sa chambre en pleine nuit et se dirigeait vers la salle de bains (s'il ne sortait de sa chambre, ce n'était qu'à des heures où tout le monde dormait pour être sûr de ne croiser personne) pour prendre sa douche, il entendit un cri rauque de l'autre côté du couloir. Un cri de femme, venant du bureau de son père.

Il se tourna lentement vers la porte, le cœur battant à tout rompre, pétrifié de terreur. Non, non, ce ne pouvait pas être un cri de la jeune femme à laquelle il songeait. Tremblant de tous ses membres, il s'approcha de la porte à pas lents, et, prenant son courage à deux mains, la poussa. La seule chose qu'il perçut furent des cris d'agonie se mêlant au sang qui coulait à flots sur le sol. Le sang de la lune rouge. (Akatsuki signifie Lune Rouge en Japonais, mais je suppose que ceux qui connaissent Naruto le savent déjà xD)

Ce fut son troisième et dernier traumatisme. La phobie du sang. (le second étant les conséquences dues à son travail acharné, citées plus haut, et origines de ses tics). Il ne put plus jamais penser à tomber amoureux d'une femme, condamné au célibat à vie.

Il quitta l'université et continua d'apprendre seul, jusqu'au jour où, 7 ans plus tard, il succéda à son père. Pourquoi cela, alors que le chef de famille n'était pas si vieux? Parce qu'il avait été assassiné. Assassiné par Jun. Alors que Dai recevait encore des coups à n'en plus finir, la jeune fille, alors âgée de quinze ans, débarqua dans le bureau du père et le tua, sans aucune hésitation Pour une fois, ce ne fut pas par le sang du ses victimes que fut taché le sol, mais du sien. Jun, pour son frère et pour elle, avait une fois de plus pris la vie de l'un de leurs parents. Daikirai ne sut comment réagir, et, le corps couvert de blessures, il la prit dans ses bras et pleura, comme le jour où Jun était née. Quant il sécha ses larmes, il ne toucha pas au corps qui gisait sur le sol, et, le regardant de haut, lui adressa ces dernières paroles:

" ...Tué ou être tué. C'est ce que tu disais, hein, Père? "

Et il ferma la porte du bureau pour ne plus jamais l'ouvrir.

Il devint donc le chef de la famille Hiroki, et l'un des quatre grands. En raison de sa grande intelligence, ce fut lui qui prit les commandes des finances de la Mafia. Puisqu'il avait perdu la famille et l'amour, il se consacrerait à l'argent et au pouvoir. Il géra les comptes de l'organisation criminelle en prenant aussi soin de ce qu'il appelait "son argent" que de sa chère Jun, dernière chose qui le raccrochait encore à la vie. Il s'y mit si bien qu'il ne dormit presque plus, agrandissant ses cernes, et c'est là qu'on le nomma: "le prince des ténèbres", car il s'occupait de tout dans l'ombre. Il prit enfin pour devise:

" Ce qui est à moi est à moi. Ce qui est à toi est négiociable. "

Ainsi, Daikirai n'eut pas, pourtant né dans le milieu le plus favorable où il put en avoir, une vie parfaite. Elle fut même, comme vous pouvez le voir, un véritable calvaire. Cependant, aujourd'hui il est comme il le dit "à la tête d'une véritable fourmilière de mafieux" et continue de vivre comme il peut, s'accrochant aux derniers morceaux d'espoir brisé qu'il lui reste...

C'est triste tout cela....

*s'attarde pas dessus, tu as déjà mon avis ;)*

Bienvenue, Parrain :p.
Fiche VALIDÉE

» Shanaru "Shana" Shozômaru |En cours|