Suite
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Trois jours plus tard.
Asuka se réveilla. En faite elle n’avait pas vraiment dormit. Juste pris un peu de repos avant d’aller voir son client. Les informations elle les avait obtenue. Avec du mal certes mais en faites c’était juste que la justice était sur leur garde. Apparemment ils avaient déjà eu des fuites. Elle fit son manége quotidien puis elle se dirigeât vers le point de rendez-vous.
Personne ne l’approcha comme à leur habitude. Même pas quelques prostitués. Cela elle en avait l’habitude. Il faut dire, le faites qu’elle montre qu’elle soit apathie n’aidait pas vraiment les choses mais elle s’en moque parfaitement. Les rues de Tokyo-II n’étaient pas très peuplées. Elle avança vers un parc. Ne jamais donner deux fois le même lieu de rendez-vous. Le client était déjà la. Avec une autre femme que la dernière fois. Elle aussi une alliance à la main. Un homme qui aime la polygamie ou simplement un homme est une femme mariée qui trompe leurs conjoints. Mais elle s’en moquait de ce détailles. Enfin elle le garda quand même dans un coin de sa mémoire. Cela pourrait lui être utile un jour qui sait.
Asu’ « Voila les informations comme promise dans l’enveloppe. Maintenant le reste de ma somme. »
Homme « Voila. »
Asu’ « Ravit de vous avoir servit. »
L’homme tourna rapidement la tête vers la jeune femme pour lui chuchotait quelque chose à l’oreille. Quand il retourna la tête pour parlait à Asuka elle avait disparut. Elle ne restait jamais longtemps on dirait. C’était ce qu’il venait de pensée. Et en effet elle se contentait juste de donner ce qu’elle devait et recevoir son dû, après elle partait. Comme un coup de vent.
Elle rentra directement chez elle. Elle n’était pas fatigué mais elle n’avait pas envie d’être au contacte de la population, seulement la porte de chez elle était ouverte, le son de la télé lui parvenait aux oreilles. Elle se glissa alors discrètement chez elle, se dirigeât vers le salon. Une femme était assise sur le canapé regardant les informations. Elle se glissa derrière elle et lui susurra à l’oreille.
Asu’ « Que fait ma sœur dans mon appartement sans me prévenir ? »
Sœur « Je suis là pour prendre de tes nouvelles. Mère s’inquiète, tu ne viens pas la voir. Tu ne lui écris pas. Et tu ne réponds pas au téléphone donc je n’ai pas pu te prévenir. »
La jeune fille balança son argent sur la table ainsi que sa veste et se mit devant sa sœur. L’empêchant ainsi de voir la télé.
Asu’ « Et c’est tout ? Car si c’est le cas tu pourra dire à maman que je vais bien et que je suis débordait de travaille. »
C’était un mensonge. Elle n’était pas déborder de travaille mais si elle allait voir sa mère ses souvenirs du passés lui reviendrait et de plus elle n’avait pas vraiment envie de la voir. Son état lui importait peu maintenant.
Sœur « Donc si je comprend bien, ma demi-sœur est bien trop occuper pour allait voir sa famille. Très bien je dirais à mère que tu vas bien et que tu travailles rudement. »
Sa sœur partit de chez elle, laissant la jeune fille seule dans son appartement. Elle repris sa veste rangea son argent et sortit elle aussi à son tour de son appartement.
Asu’ « Finalement je vais allait voir Max’ boire un bon verre en de bonne compagnie ne me fera pas de mal. »
Ses pas la dirigèrent alors naturellement vers un bar où elle se rendait souvent, le Death Hollow. Elle ne mit pas longtemps avant de repérait à l’intérieure le barman qu’elle cherchait : Max’. Elle se glissa alors derrière un des clients qu’il était entrain de servir et pris la parole.
Asu’ « Et pour moi un coca rhum. »
Le jeune barman sursauta en entendant la voix de son amie.
Max’ « Et combien de fois t’ai-je dit de ne pas maze faire peur avec ta discrétion ! »
Asu’ « Euh… Certainement à chaque fois que je viens. »
Max’ « et bien on dirait que tu ne l’as pas retenue. »
Asu’ « bah si mais j’aime t’embêter. »
Elle s’installa sur un tabouret libre au comptoir attendant que son amie lui serve son nectar alcooliser demander. Celui-ci ne tarda d’ailleurs pas à arriver. Elle pris le verre et bu une gorger qu’elle recracha aussi tôt.
Asu’ « Et mon rhum ? Tu la mis où ? »
Max’ « ah bah ça tu l’as cherchait. Fallait pas m’embêter. »
Asu’ « Mais euh. Mon rhum ! »
Max’ « S’il te plaît. »
Asu’ « Grrr, s’il te plaît. »
Max’ « Et le voilà. »
Elle passa toute sa soirée dans ce bar avec un de ses rares amis. Bien sur ce n’était pas de simple bavardage entre amis. C’était du je te taquine. Ah non c’est moi. Et cela pendant toute la soirée. C’était leur perpétuel quotidien lorsqu’ils se voyaient. Au finale elle avait du boire trois verres de rhum coca. Elle ne buvait pas beaucoup.
Max’ «Dit moi la désintéressait de tout, tu sais qu’elle jour on est aujourd’hui ? »
Asu’ « Euh bah non. Et ne m’appelle pas comme ça ><. »
Max’ « T’es grave ma chère. Tu oublis même que l’on est le 14 octobre. »
Asu’ « Oki et y à quoi le 14 ? »
Max’ « Va te faire soignée !!!! C’est ton anniv’ j’te rappelle ! »
Asu’ « Ah bon ? Ah bah je m’en souvenait plus hihi. »
Max’ se pencha sous le comptoir pour en ressortir trois paquets cadeau. Il les tendit à son amie qui les prit entre ses mains.
Asu’ « Bon bah c’est partit ! Ouvrage de cadeaux ! »
Le premier paquet l’envoya ravis, enfin façon de parlait. Imaginer vous. Vous êtes quelqu’un qui n’aime pas être déranger pendant son sommeille et l’on vous offre un réveille pour les valseurs de réveille matin, c'est-à-dire un réveille incassable et bien solide de façon à ce que vous regrettiez de l’avoir fait valser puisqu’il prendra soin de sonner encore plus fort avec une stupide sonnerie d’un bip bip régulier. Et bien voilà le joli cadeau que Asuka découvrit dans ce merveilleux paquet.
Asu’ « Dit moi max’ tu veux mourir ? »
Max’ « Bah non XD. Mais au moins comme cela tu te réveilleras à l’heure tous les matins et tu ne seras plus en retard. »
Asu’ « Mouai. »
Le deuxième c’était un pantalon noir, simple. Un cadeau assez basique qui lui fit quand même plaisir. Bah oui car après un foutu réveille matin avec qui vous allait vous battre même un simple pantalon vous envoie ravie. Et le troisième l’envoya ravis, voir même aux anges. Rattrapant ainsi le pauvre petit maudit réveille avec qui elle allait entamer une lutte acharnée tout les matins et qu’elle perdra évidemment à chaque fois, quatre paquets de dix tablettes de chocolat au lait. Rien de mieux pour elle que ça.
Asu’ « Là tu t’es bien rattraper ! »
Elle ne se fit pas prier pour ouvrir la première tablette qu’elle savoura lentement. Le bar commença à se vider c’était l’heure de fermeture. Asuka pris alors ses affaires comprenant : le chocolat, le pantalon, le maudit réveille et son sac à main. Elle fit un signe de main pour dire au revoir à son ami tout en ayant encore son chocolat à la bouche.
Elle était enfin de retour chez elle. Elle regarda l’heure. 5h du matin. En effet elle était restée longtemps pour quelqu’un qui ne voulait pas sortir ce soir là. Elle balança toute ses affaire sur la table, admirant ce maudit réveille se demandant si elle allait le mettre en place et finalement ce fut un oui. Max’ avait eu une bonne idée finalement. Elle serait ainsi tout le temps à l’heure. Enfin du moins elle n’aurait plus l’excuse du réveille matin qui n’as pas sonner. Elle le mit alors à la place de l’autre qui était déjà à moitié mort et le programma à 10h pour le lendemain. Elle pris le pantalon et le jeta dans son placard à linge. Elle retourna dans le salon s’installant devant sa télévision. En faites ce n’était pas devant une télé mais devant un écran qui lui permettait de voir son jeu vidéo. Elle brancha la manette et lança le jeu tout en mangeant son chocolat.
Elle avait pu ce payer ce bijou électronique coûtant une fortune avec un salaire qu’elle avait touché une fois en risquant sa vie pour un proxénète. Et elle ne le regrettait pas. C’était ainsi qu’elle s’occuper quand elle ne sortait pas, ne dormait pas ou n’était pas en mission. Enfin bref c’était devenue une partie de son quotidien. Elle vivait dans le luxe, elle pouvait l’affirmait mais parfois son métier payait bien quand on s’appliquait bien et que l’on avait de bon client.
Elle faisait partie de ses quelque privilégier de ce monde sordide, lugubres sombre. Elle n’avait, de toute façon, connu que ce monde alors elle ne savait pas si ce monde était normal ou non.