Un client, une balle, une rencontre. [Pv: TOmoe]

Un bruit strident se fit entendre dans une petite pièce d’un petit appartement. C’était un horrible bip, bip, bip qui a toujours l’honneur de vous agasse. Un bip, bip, bip continuel, sur le même rythme augmentant le son petit à petit. Une main sortit alors de sous une couverture et tata le réveille pour trouver le bouton arrêt, qu’elle ne trouva pas apparemment puisqu’elle balança à grand coup de main le petit objet contre l’un des murs de la pièce.
Aya’ « Maudit réveil »

La Jeune fille sortit de sa planque en sous-vêtement, les cheveux en pétard et des yeux à moitié ouverts. Oui elle avait enfin pu trouver un moment pour dormir mis il avait fallut que se réveille se mette en marche. Grrrrm. Elle n’allait pas être de bonne humeur. Elle fila directement dans la salle de bain sortant ainsi de la petite pièce qui était apparemment une chambre contenant un simple lit, une armoire avec miroir et une petite tablette. Lorsqu’elle fut dans la salle de bain elle retira ce qui lui restait comme vêtement et entra dans la douche qu’elle pris bien chaude pour ne pas changeait.

Et après tout un rituel du réveil c'est-à-dire : se coiffer, maquiller, s’habiller comme d’habitude, déjeuner un bol de chocolat chaud et regarder le courrier de la veille sortit de la boîte au lettre et posait sur la table sans avoir été regarder elle sortit de chez elle et se dirigeât vers son rendez-vous.

Dehors il faisait encore noir. Il n’était que minuit après tout. Elle venait de finir une mission et son client ne voulait pas être vu. Un homme de la mafia. A vraie dire elle y avait eu du mal sur cette mission. Mais le prix en valait la chandelle et elle y était habituée. Quelques chats traîner dans les poubelles, à la recherche d’une quelconque nourriture, mais aussi parfois des prostitués dont la jeune fille pris soin de les renvoyer sur leur trottoir froidement. Et bien oui elle était de mauvaise humeur car après quatre nuit blanche elle pensée pouvoir enfin dormir mais il lui fallut que ce soit pour minuit qu’elle devait être au point de rendez-vous.

Elle arriva enfin à l’endroit où elle devait retrouver le gas. Au Mur de Tag ou plus précisément, un skate park. Elle trouva un banc alors où était assit son client. Elle s’approcha doucement et en étant sur ses gardes. On ne sait jamais avec se genre de personne il faut toujours faire attention. Seulement il ne lui fallut pas longtemps pour voir qu’il était mort.
Aya « Et merde, c’est qui l’enflure qui a butté mon client. Bon il a les tunes sur lui ? Yes !!! Vlà l’argent. Bon j’en fais quoi des infos moi ? »
Voix « Et bien tu vas sagement me les donner. »
Elle se retourna et pu apercevoir un homme habiller de noir, se fondant aussi bien que la jeune fille dans le noir, une arme pointer sur celle-ci. Notre jeune fille n’était pas vraiment en position de force, mais sa première pensée fut * Et merde, il fallait que ce con soit là. Zut de zut il pouvait pas prendre plus de préco l’autre mec !!!* Il lui fallait trouvait un moyen de se défendre.
Aya « Même si je te les donnes ça ne te servira à rien. J’en ai des copies. »
Elle sortit son briquet et brûla l’enveloppe. Elle profita de ce spectacle pour notre adversaire pour s’enfuir. Elle courut le plus vite qu’elle pu mais l’homme lança quand même une balle qui lui frôla le bras. Elle ne fit pas attention et continua, profitant de l’environnement pour se dissimuler un minimum.

Après un long moment de course elle s’arrêta dans une ruelle. Elle était un peu essoufflait et son bras la piquet. Elle s’adossa contre un mur de l’étroite ruelle et regarda l’état de son bras.
Aya « L’enflure, il a réussit à me frôler. Ouatch ça fait pas du bien, et le pire c’est que maintenant je saigne. »
Elle sortit de son sac un bout de tissu qu’elle enroula autour de son bras. Quand un bruit se fit entendre. Elle se tapissa dans l’ombre et sortit de sa poche un pistolet. Elle n’aimait pas l’utiliser mais bon si elle tombait de nouveau sur ce tuer à gage sur qui elle devait espionner, il lui valait mieux être armée. Elle retira la sécurité et le pointa vers l’endroit d’où venait le bruit, restant dissimulé dans l’ombre. Il ne fallait pas qu’elle se montre et qu’elle prenne trop de risque.

Des pas raisonnèrent dans l’étroite ruelle. Aya’ s’était tapissé dans l’ombre de la petite rue, restant ainsi cachée des yeux de cette personne qui se faisait annoncer à l’aide de ses pas. L’arme braquer sur la direction des pas, la sécurité enlever, elle était prête à se défendre. Puis doucement une lueur de briquet éclaira un visage opalin, puis une odeur de cigarette s’en dégagea, suivit d’un bruit de rejet de cette fumer toxique et pourtant aimer de beaucoup.
Notre jeune fille resta sur ses gardes, dans l’ombre qu’elle aimait. On ne sait jamais ce qui peut vous arrivée dans se métier. Soudain, brisant le silence, une voix féminine retentit en éco dans l’étroit espace qu’offrait la ruelle.
Voix « Si…quelqu’un se cache…qu’il sorte… je ne peux pas vous entendre. Je suis sourde, il me faut vous voir de près afin de comprendre ce que vous dites. »
Plutôt maligne celle-là, c’était ce que venait de pensée Aya. Mais elle ne resta pas pour autant cacher. Elle prenait un risque, elle le savait mais il fallait tenté le tout pour le tout. Elle sortit, alors, légèrement de sa cachette, gardant l’arme sortit et prenant soin de préparer ses armes de corps à corps si il fallait en arrivée jusque là.
Aya « Pas mal l’astuce de je suis sourde. Mais bon c’est vraie que c’est peut-être le cas, et si je ne sort pas de ma cachette et que tu l’es vraiment je ne vais pas pouvoir savoir si c’est vrai. Et tu ne pourras pas non plus répondre à mes questions. »
Elle s’avança un peu plus vers la jeune fille qui était devant elle. L’arme toujours sortit, prête à tirer si il le fallait. Elle resserra son bandage avec les dents avant de reprendre la parole.
Aya’ « Bon on va faire cours. J’ai pas envie de moisir ici. Tu te nommes comment ? Tu bosses pour l’autre guss qui ma tiré dessus ? »
Elle n’avait pas un regard doux et chaleureux. Il était froid tout comme le son de sa voix. Elle savait que si cette fille était sourde, elle ne pourrait pas entendre le ton glacial de sa voix. Donc il lui fallait faire passer cette froideur autrement et elle le fit par le regard. Il était glacial, et pour ne rien arrangée à cette ambiance à vous faire tremblait le sang, un vent frai se leva. Balançant doucement les cheveux des deux jeune femme.
Seulement aya avait bien ressentit la différence d’âge. Cela se voyait sur les traits du visage de son interlocuteur sourd. Elle devait avoir dans la vingtaine, plus près des trente que des vingt. Et aya elle n’avait que seize ans. Encore une jeune adolescente et pourtant déjà à l’exercice d’un métier difficile.
Attendant les réponses aux questions posaient, elle sortit de sa poche, au même endroit où se trouvait son arme à feu un peu plus tôt, un petit paquet rectangulaire à la couleur dominante blanc. Elle pris à l’intérieur un bâtonner en gâteau recouvert de chocolat noir qu’elle mis en bouche comme si c’était une simple et vulgaire cigarette et le dégusta lentement. Aya commença à en avoir marre de ce boulot. M’enfin il y avait des jours comme cela. Un client qui se fait buter, puis après elle qui est prise pour cible, ensuite voilà qu’une femme arrive et prétend être sourde. Elle n’avait pas vraiment de chance aujourd’hui. Mais la chance, ce n’était pas pour tous les jours. Surtout que dans ce monde, dans Tokyo-II, avoir de la chance c’était quelque chose de rare, alors elle ne se plaignait pas, surtout qu’elle avait réussit à avoir un métier pas vraiment « saillissent ». Certes parfois elle devait tuer mais c’était rare. Elle, elle prenait juste des informations pour un client qui la payer.

La jeune femme pointa un regard indifférent à notre jeune fille avant de lui répondre. Elle ne voyait pas de quoi parler Aya ni en quoi son nom aurait pu lui être utile et elle affirmait travailler pour personne sauf elle même. Maintenant elle lui donnait un conseil. Elle voulait que notre jeune fille range son arme. Elle le savait déjà elle-même qu’un accident arrivait facilement dans ce monde. Un meurtre pouvait aussi être facilement déguisé en accident.

Elle décida alors de ranger son arme toujours en regardant froidement l’inconnue. Elle ne savait rien sur elle et il n’était peut-être pas sage d’agir ainsi mais elle pensait qu’elle pouvait quand même rangeait son arme à feu ce qu’elle fit de suite. Elle sortit à la place un carré de chocolat au lait avec des morceau de noisette qu’elle s’enfoura un bout dans sa bouche laissant l’autre sortit. Elle savourait doucement sa douceur quand la jeune femme repris la parole comme pour changeait de sujet. Sur une échelle de 10 combien donnerait Aya à sa blessure. Sa question était bien bizarre mais pourtant notre jeune adolescente y répondra laissant ainsi la conversation changeait de sujet.

« Peut-être 1 sur 10. La balle n’a fait que me frôler et je suis habitué à la douleur. Si toi tu n’as jamais reçut de telle douleur alors tu ne poses pas ta question à la bonne personne. Mais revenons en au sujet principal. Que fais tu ici ? »

Et voilà, elle n’avait pas abandonné son idée principale. Savoir qui était cette femme. Elle n’était pas du genre à laissait tomber. Peut-être dû à son caractère ou à son métier. Une informatrice se doit de récolter le maximum d’information. Et elle était toujours fidèle à cette règle, même si elle n’était pas dans le cadre du travail, cela pouvait toujours être utile.

Son carré de chocolat venait d’être finit. Elle poussa un léger soupir de désespoir, pourquoi ses douceurs se finissaient rapidement. Elle en sortit un nouveau de sa poche et le remit en place dans sa bouche. Elle regarda la jeune femme et repris la parole.

« Je sais pas si je peux vraiment te faire confiance en laissant mon arme dans son étuis. Après tout se monde est pourri jusqu’à la moelle. Et les trois quart de ses habitants aussi. Pour les autres pays nous n’existons même pas. Pour eux nous sommes des êtres comme eux qui vivent en paix. Tu parles d’une paix. Qui en voudrait de notre « paix » ? Dit moi. Moi je crois pas que beaucoup de gens en voudrais. »

Elle s’adossa contre le mur éclairer par un lampadaire clignotant afin de pouvoir laisser ses lèvres visible à la jeune femme. Elle semblait être vraiment sourde alors si elle voulait restait compréhensible il fallait que son interlocutrice puisse lire sur ses lèvres. La scène était plutôt ironique. Une jeune adolescente adosser contre un lampadaire un carré de chocolat en bouche et non loin d’elle une jeune femme sourde, un regard ailleurs, et une cigarette à la main. Aya en rirait presque.

Quelques bruits de coups de feu, de cris, de menace, et encore bien d’autre bruit se firent entendre, des bruits habituels. Aya était la seule ici à les entendre puisque la jeune femme qui se trouvait avec elle était sourde, il lui était donc impossible d’entendre tous ces bruits.

[excuse moi pour le retard!! ^^]

Si Tomoé devait analyser la jeune fille qui était devant elle, sans doute la décirait-elle ainsi: impétueuse, ne manquant nullement de cran, mais sans doute que cela lui jouerait des tours. Sa jeunesse était son défaut, la rendant trop confiante ou trop méfiante... voire un peu des deux. Voilà une brebis égarée. Seulement, la jeune fille n'avait pas la moindre idée de qui elle avait en face, du véritable danger qui résidait alors dans ce corps de femme fumante. Ce qui ce cachait derrière ses prunelles noires là, c'était de la folie sans morale, une évadée recherchée à qui l'on comptait un bien triste palmarès de meurtre, dont un, d'un membre de Justice eux-même. Elle ne faisait pas de distinction entre les gêneurs, ni dans ses expériences. Tout le monde était au même statut.

Toujours cigarette en bouche, comme si c'était un jeu ou un duel, Tomoé ne quitta pas la jeune Aya du regard, ne baissant nullement sa garde puisque présentement, avec son hanidicap de surdité, elle devait tout à ses yeux. La demoiselle prit même le soin de ranger son joujou à balles. Cela était une sage décision, car autre facteur que l'on devait connaître sur l'évadée, c'était qu'elle avait une connaissance spectaculaire dans les armes à feu ainsi que les bombes. Elle pouvait facilement en fabriquer une comme les défaire, mais tout aussi bien les manier. C'était une fascination dont elle avait jamais vraiment réussi à s'expliquer mais c'était ainsi.

Au lieu de son arme, Aya remplaça le tout par un morceau de chocolat. Une bien gourmande habitude qui pourvait sa juvénilité. Malgré la gêne que le bout de chocolat causait dans sa compréhension et sa lecture sur les lèvres, Tomoé fut néanmoins capable d'en dicerner le nécessaire. Et le tout se ponctua par une autre question. Que cela était irritant. Une question par une question? C'était donc cela la règle? Il y avait tant de gens qui aimaient à faire cela, c'était une pure perte de temps, et la réponse que donnerait l'étrange fumeuse serait identique. Une perte de temps.

" Je me promène. "

Court, concis et précis. Pouvait-on demander mieux? En tout cas, cela en disait bien peu et ne participait pas à connaître son identité. Sans doute que cela ferait naître quelques frustrations chez aya, mais il fallait avouer : Tomoé sans moquait totalement et au plus au point. Elle ne se souciait jamais vraiment des autres en temps général et la soirée présente ne se prêtait pas au politesse d'usage.

Prenant alors sa cigarette, la coinçant délicatement entre son index et majeur, elle recracha voluptément un nuage de fumée cendrée. Tomoé savait pertinament qu'elle se goudronnait les poumons, que c'était un danger pour la santé, mais lorsque l'on habitait à Tokyo-II, vous seriez étonnée de savoir que c'était rarement la maladie qui emportait les gens de nos jours. Il y avait toujours de funeste évènement qui ferait qu'autre chose viendrait vous faucher. C'était assez malheureux non?

Les yeux pointés sur la bouche de l'adolescente, elle la suivit du regard d'adosser sereinement près d'un lampadaire, l'éclairant alors merveilleusement, de telle manière à ce qu'elle pourrait plus aisément distinguer ce qu'elle pourrait prononcer. Néanmoins, ces paroles étaient ennuyeuses. Confiance, confiance.... c'était un mot que l'on entendait souvent en ce moment. Tout le monde recherchait cette confiance chez les autres.

" La confiance n'est qu'une illusion permettant d'endormir la vigilance. L'humanité est basée sur le doute, elle doutera toujours même lorsque celle-ci dit fait confiance. Faire confiance, c'est qu'une question d'arrangement, un marché éphémère. Me faire confiance? C'est à toi d'en décider. "

Autant dire que la réponse étrange de Tomoé attirait encore plus la méfiance mais on ne pourrait pas lui reprocher de ne pas avoir été honnête en une façon. Même si ce n'était pas de façon directe, elle venait de déclarer qu'il ne fallait faire confiance en personne et qu'elle-même ne le ferait pas.

Ce fut alors que l'évadée tenta de s'interroger sur la suite de la question. Celle qui parlait de la paix dans la ville de Tokyo-II. C'était encore du charabia et la jeune femme à la cigarette comprenait que d'une façon ou d'une autre, Aya essayait certainement d'en savoir un peu plus sur Tomoé, mais avec ses vagues réponses, cela n'aidait pas le moins du monde. Ce fut sur un ton bien simple et monotone, elle prit néanmoins l'initiative de ne pas laisser le sujet tomber à plat.

" Je ne suis pas dans la capacité de penser pour les autres, ni de m'intéresser à ce qu'ils peuvent croire. Chaque gouvernement à ses problèmes, comme chaque personne à les siens. Occupons-nous d'abord de nous même avant de nous préoccupez des autres et de leur pensée. La paix n'est qu'une utopie que nous savons que nous ne gagnerons jamais vraiment.... Si ce n'est dans le pays, cela serait entre ces gens, dans les familles, dans un couple.... il n'y aura jamais une paix conforme et convenable. "

Raaa cette femme commençait à lui taper sur les nerfs. Elle ne faisait que de fumer et ne lui réponder pas aux questions où elle désirait avoir le plus de réponse. Il lui faudra alors certainement enquêter sur cette étrange femme. Youhou, et voilà un boulot de plus à sa liste. Elle tourna son regard vers l’étrangère.

« Tu te baladais simplement. Ok ».

Elle quitta son lampadaire et s’approcha de cette femme fumeuse. Elle approcha son visage de celui de son interlocuteur, assez près mais pas trop afin qu’elle puisse lire sur ses lèvres. Et bien oui elle devait prendre en compte cet handicape si elle voulait se faire comprendre par une sourde. Chose peu commode ici bas.

« Alors tu fais de la résistance à me donner les informations que je veux. Pas de problème, j’ai l’habitude de fouiner pour trouver ce que je veux, après tout c’est mon métier. »

Un large sourire se dessina sur ses lèvres. Elle venait de faire comprendre clairement qu’elle obtenait toujours ce qu’elle voulait.
Alors qu’elle se retournait les mains croiser derrière la tête l’inconnue lui répondit à sa question sur la confiance. En claire pour elle la confiance n’était qu’une utopie. Et bien elle avait mit en plein dans le mille. Aya se retourna et laissa échapper un rire avant de répondre.

« Si tu crois que je vais te faire confiance, la seule chose qui me permet de faire « confiance » aux gens est la somme d’argent que l’on m’offre pour le résultat de mon travail. Alors je ne risque pas de lier une confiance autre qu’avec de l’argent avec une telle inconnue comme toi. Qui sait, tu es peut-être une tueuse à gage, ou alors une évader de prison, mais peut-être encore un membre de la mafia, quoi que je n’opterais pas pour le dernière option. »

Là il était claire et nette, Ayanami n’avait vraiment pas envie de se lier de confiance de sitôt puis une nouvelle fois l’étrangère pris la paroles. Ce coup-ci c’était pour répondre à la question que notre jeune fille avait posé sur la paix. Elle faisait toujours des phrases longues et compliquer quand cela n’intéressait pas vraiment notre jeune fille. Mais alors quand il s’agissait de parler un peu d’elle-même à ba oui là on veut bien faire court. Alors pour elle la paix était inaccessible. Oui c’était vrai. Le visage de notre jeune fille s’assombrit. Jamais elle n’aurait la paix avec son père.

« Ouai t’as raison. Si cette paix était accessible alors je ne porterais pas une arme à feu 24h/24 sur moi et je ne serai pas entrain de savoir qui se trouve dans chaque coin de rue, ne me ferais pas d’innombrable « allié ». Jamais on ne pourra avoir une paix. Le jour où l’on pensera l’avoir eu alors se jour là on sera baigné dans un rêve car il existera toujours de la haine et des gens prêt à tuer pour un oui pour un non, et même des gens qui batte leurs enfant. »

Sur ses dernières paroles, son visage perdit toutes expressions comme si elle était ailleurs, et c’était à moitié le cas. Elle restait là dans le monde réelle au cas où, mais elle était aussi ailleurs, là où l’odeur de la rose dominer, où l’on pouvait entendre une jeune fille crier.
Elle se reconnecta rapidement et s’enfila deux morceaux de chocolat puis retourna tranquillement près de son lampadaire.