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You • Couldn't • Ever • Fall • Lower


 
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 _Thanks for the memories [PV]

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Tsukiyo

Tsukiyo


Nombre de messages : 306
Date d'inscription : 02/08/2007
Localisation : Over the rainbow.
Fonction RPG : Mignonne petite catin
Âge du personnage : 16ans
Fiche de Présentation : ♥ God save the queen.

Registre de l'Etat
Message Perso: Il te restera toujours tes rêves pour ré-inventer ce monde que l'on t'a confisqué.
Etat civil: Célibataire
Porte-monnaie: 10 000¥

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MessageSujet: _Thanks for the memories [PV]   _Thanks for the memories [PV] Icon_minitimeSam 5 Juil - 11:44


    Découvrez Muse!


    { Hj : Tsukiyo/Chie : 12ans ; Kurogane : 13ans }

    Il était six heures du matin. Le domaine Aizawa se levait à peine dans cette matinée de juillet. Juillet ou Décembre, ça ne changeait pas grand-chose pour Tokyo-II d’ailleurs. L’air était le même : lourd et étouffant. La chaleur, tel un serpent fallacieux, s’insinuait dans la peau pour ne plus la quitter et l’air était toujours autant saturé de pollution et autres déchets toxiques qui viendrait à bout de ce monde. Chie se réveilla donc sur ce monde, comme d’habitude. Elle bailla un instant et ouvrit les rideaux de sa fenêtre. Elle observa un instant la marre aux carpes japonaises. Il y en avait quatre : Kuroi, Shiroi, Akai et Aoi. La petite fille adorait ses carpes et s’empressa de les nourrir. Elle consentit ensuite à revêtir l’éternel kimono blanc que Hitsugi-dono lui avait donné et qui faisait la fierté de sa mère. Elle courut ensuite vers la cuisine pour son petit déjeuner et fut ravie de voir tonton Daikirai manger un gâteau aux fraises en regardant le cours de la bourse sur son écran d’ordinateur portable. Elle eut à peine le temps de se saisir d’un croissant que sa mère, vile harpie acharnée, la kidnappa pour un entraînement intensif. Ils avaient tous remarqués que Chie était de faible constitution et n’avait pas beaucoup de muscles. Elle brillait donc par son absence aux cours d’art-martiaux et autre exercices de force où elle se ramassait. Mais on avait vite comprit que la gamine, à défaut de pouvoir casser les bras de ses petits camarades pouvaient aisément se glisser entre les barreaux d’une prison ou encore faire quelques acrobaties plus extraordinaires les unes que les autres.

    On dispensa donc Chie des cours basiques de Karaté, Jujitsu, King boxing et autres pour lui apprendre la gymnastique et la course, choses dans lesquelles elle excellait. Par contre hors de question qu’elle rate les cours d’économie de Daikirai, les cours d’Anglais, science et latin de Satsuki, ceux de « presence & élégance » de Gin et encore moins l’entraînement au sabre de Hitsugi-dono. Il fallait d’ailleurs qu’elle soit maîtresse dans cette discipline. Mais elle se ramassait lamentable le rang de second couteau, puisqu’un dénommé Kurogane Kisaragi s’amusait à la battre à tous les combats, sous le regard sévère et consterné de Hitsugi. Après son entraînement matinal de gymnastique, sa mère la libéra en lui indiquant que cet après-midi il y avait un conseil et qu’il fallait être donc « adorable, aimable, gentille, etcetera » toute la journée pour marquer des bons points. Mais tout le monde le savait, Chie était la chouchoute des grands chefs. Puisque c’était elle qui semblait dénuée de sens moral, d’esprit lors des missions et qu’elle les faisait toujours sans poser aucunes questions. Quoi qu’il en soit sautons la journée et passons directement au passage qui nous intéresse.

    La grande salle était plus silencieuse que jamais. Au travers d’un shoji, quatre personnes collaient l’oreille tentant d’entendre des bribes de conversations sans que rien ne transperce la porte de papier de riz. Elle était finie avec du plomb ou quoi ? Normalement ce genre de matériau laissait passer le bruit non ? Visiblement les quatre grands avaient plus d’un tour dans leur sac. Tant mieux, parce que les quatre petits aussi. Celui qui semblait le plus âgé avait quinze ans. Il possédait des prunelles améthystes et un air froid et hautain. Il était habillé d’un uniforme d’une prestigieuse école déchue et tentait tant bien que mal de percer le secret des quatre grands chefs pour devenir le maître ultime de la mafia ( « muahahahaha », s’il vous plait). A ses côtés une jeune fille quatorze ans, les cheveux blonds, l’air candide, un cresin au wasabi dans la bouche ne cessait de répéter « qu’est-ce vous faîtes ? » sans que personne ne lui prête la moindre attention. Elle était nunuche alors. Ensuite, juste à côté de l’arrogant « muahahaha » de service se tenait droit un préadolescent de treize ans, l’oreille collée contre le shoji, les yeux fermés, grommelant quelque chose dans sa barbe – qu’il n’avait pas d’ailleurs.

    Il portait un jean sombre, un t-shirt tout aussi sombre et semblait adepte du style emocore. Tant mieux parce que la gamine de douze ans assisse à côté de lui, sucette en bouche, en train de nettoyer une petite dague d’une grande valeur ne cessait de l’appeler « emo-boy ». C’est d’ailleurs sur cette dernière que nous allons nous concentrer voulez-vous ? La petite fille avait les cheveux longs et noirs, ses yeux verts scintillaient de malice. Elle avait la silhouette fine et portait un large kimono de soie blanche. Le symbole ultime qu’elle était la digne héritière de la famille Aizawa. Cette gamine s’appelait Chie, Chie Aizawa, et elle n’en avait que faire de ce que disait les grands. Ce qui comptait c’était après, c’était l’ordre qu’allait donner Hitsugi-dono après la réunion. Et elle l’exécuterait. Mais d’ici la fin du conseil, il y avait au minimum une heure. Et une heure, c’était long. Très long, surtout quand on voyait que les deux autres garçons ne pensaient qu’a espionner aux portes. Encore, ce que faisait Suzaku, elle s’en moquait complètement, mais emo-boy, elle voulait l’embêter. C’était tellement marrant de le titiller là où ça faisait mal et de se pourrir la gueule avec lui. Elle entreprit donc l’opération « embêter kurogane-kun jusqu'à crise de nerfs et internement en psychiatrie ».


    « Nee emo-kuro-boy, ça sert à rien tu sais d’écouter aux portes. Tout le monde le dit que tu n’a rien à faire ici, même au conseil, on connait donc l’issue. »

    Elle commençait très fort et surtout très méchamment. Elle venait de faire une nouvelle fois remarquer à Kurogane qu’il n’était pas de la Mafia et qu’il n’avait rien à faire avec eux. Elle garda cependant son sourire candide aux lèvres. D’un seul coup le shoji s’ouvrit en grand et Hitsugi-dono en sortit. Modèle même d’élégance et de raffinement, beauté glaciale et sacrée. Symbole de cette tradition perdue. On voyait en Hitsugi une maîtresse du sabre imbattable, une dirigeante inflexible, une geisha placide et courtoise. Elle était son égérie, son idole. La petite madone se tut et fit immédiatement le salut qu’elle devait à la chef de la famille Aizawa. La voix glacée et flegmatique de la maîtresse d’arme résonna.

    « Cessez d’écouter aux portes, c’est inutile et malvenu. Kurogane-san, Chie-san, suivez-moi. »

    Et la silhouette élégante et majestueuse de Hitsugi-dono s’enfonça dans le couloir. De suite Chie la suivit, ayant retrouvé cet air vide de poupée lorsque la marraine était dans les parages. La Geisha les amena dans le dojo et s’agenouilla. A ses côtés deux fourreaux : un noir et un rouge. Sa voix laconique reprit lorsqu’elle eut les deux préadolescents devant elle.

    « Vous devez faire vos preuves. Vous avez une mission. »

    Elle tendit le fourreau noir à Kurogane,et le rouge à Chie. Elle resta silencieuse ; c’était à eux de parler, de poser les questions. C’était même à eux de dire « en quoi consiste-t-elle ? ». Chie garda le silence et observa son arme nouvellement acquise. Ce serait donc à Kuorgane de prendre l’initiative.
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MessageSujet: Re: _Thanks for the memories [PV]   _Thanks for the memories [PV] Icon_minitimeLun 7 Juil - 23:51


    Le brun ténébreux était si absorbé par son écran qu'il ne vit même pas passer la fillette en kimono immaculé, venue chercher furtivement un petit déjeuner avant de se faire kidnapper par sa génitrice. M42, montée ridicule de deux points. JXO, baisse effrayante de vingt-cinq points. Cependant, contrairement à celles des rares personnes, qui, dans cette ville, pouvaient rivaliser avec lui dans le domaine de la bourse, les actions de Daikirai semblaient plutôt bien se porter, ce jour là. Il faut dire que c'est la mafia qui la contrôlait, et donc Daikirai lui même, mais bon, quand on est trop occupé à déguster un délicieux gâteau au fraises ou autre met bourré de sucre tel que seul lui pouvait supporter sans devenir diabétique, on n'avait pas envie de devoir faire soi même grimper ou descendre les actions; dans ces cas là, payer quelques sous-fifres pour contrôler la bonne marche des actions du chef du clan Hiroki était assez agréable. Mais puisque cette journée avait si bien commencé, et que Daikirai, seulement au petit déjeuner, avait accessoirement dépassé la dose de sucre mensuelle autorisée par sa petite sœur (qui équivalait à un demi gâteau aux fraises que celui ci avait englouti en empilant des morceaux de sucre dans son café jusqu'à ce que celui-ci sature), il décida donc qu'il était temps maintenant (après s'être brossé les dents, ou sinon Jun allait lui faire un procès) d'aller vaquer à sa deuxième activité préférée, après les cours de la bourse+sucreries: j'ai nommé... Aller réveiller les troupes.

    Pas les filles, qui car il gardait tout de même ses manières de gentleman asocial avec elles, mais tout particulièrement les garçons. Il se glissa d'abord, sans un bruit, dans les appartements de Suzaku; cependant, il vit avec grand regret que celui-ci était miraculeusement déjà levé, et boutonnait sa chemise devant un long miroir, tel un élève sérieux s'apprêtant à aller en cours. Peut être avait-il une leçon spéciale avec Gin-sama, ce matin là. Quoi qu'il en fut, c'était trop tard pour pouvoir réveiller celui-ci et l'extirper de ses rêveries Junesques de Suzaku adolescent; mais ce n'était pas grave, car il lui restait le plus amusant. Celui qu'il ne fallait à tout pris pas réveiller. Déballant une sucette fourrée dans sa poche qui se retrouva bien vite dans sa bouche, il gambada joyeusement vers les appartements du volcan qui servait de successeur à la grande, l'éternelle, la magnifique Satsuki Kirasagi.


    C'était littéralement un cauchemar. Un des pires qu'il put avoir dans toute sa vie, même en comptant ceux où Itachi apparaissait inlassablement. Il était d'ailleurs étrange qu'il ne fit pas son apparition dans celui-ci. Peut être s'était-il lassé de venir hanter ses nuits. A croire que cet enfant n'avait jamais fait de vrai rêve. Les images défilaient dans sa tête comme s'il s'y trouvait à l'instant présent, bien qu'il fut en réalité ni plus ni moins blotti entre les draps de son lit complètement défait, comme s'il s'était battu avec pendant la nuit. Il revoyait ce jour de pluie, où, alors que recroquevillé sur lui même, il se croyait perdu, une belle et gracieuse main blanche s'était tendue vers lui. Ce jour où tout avait changé. Il avait suivi cette personne qu'il connaissait à peine, il était monté dans cette limousine, et était loin de se douter qu'il deviendrait ce qu'il était aujourd'hui, persuadé qu'on allait le vendre ou bien le tuer. Mais oui, il se revoyait encore assis sur ce canapé fatidique, avec devant lui cet homme et ses épaisses cernes, accroupi sur son propre fauteuil, et à ses côtés cette femme qui était venue le chercher dans la misère la plus noire dans laquelle il se trouvait, dernier survivant d'un clan décimé. Ce son répétitif et improbable du chocolat brisé contre les dents du parrain, ces deux regards angoissants fixés sur lui.


    « Êtes-vous sûre que c'est le bon, Satsuki-san? »

    « Tu me sous estimes, mon cher? Je te signale que tu n'es pas le seul à avoir d'excellents informateurs. Et puis je te rappelle qu'il a le bon blason sur ses habits. Par contre, le pauvre petit a l'air effrayé, il n'a pas dit un mot. Et regarde moi ces yeux vides comme le tonneau des Danaïdes.. »dit-elle, en agitant sa main devant les pupilles rouges.« On dirait vraiment qu'il est dépressif ce gosse! Je vais me charger d'arranger ça. Peut être que l'intégrale de cet affreux dessin animé avec ces monstres de poche arrangera quelque chose... »

    Vide? Non, ce n'étaient pas seulement ces yeux qui l'étaient. Son âme, tout son être étaient remplis de vide. Il n'entendait même plus les deux grands juger de son sort, tellement il était obsédé par la vision d’autres yeux luisant dans la pénombre, par ce sang qui n’arrêtait pas de couler.

    « Je suppose qu’avec Uchiwa s’ajoute un prénom à ton nom complet, dit l’homme aux cernes. Tu as du sûrement voir des choses horribles, et je suppose que tu ne voudras pas nous en parler, alors vais te demander maintenant de revenir dans le monde des vivants et de nous dire comment tu t’appelles, mon garçon. »

    Silence. Hors de question de révéler son identité complète, dernier bastion qu’il pouvait défendre, lui qui n’avait même plus de fierté, ni d’honneur.

    « ...Le choc, sûrement. »conclut l’homme aux cernes, en arrachant un dernier morceau de chocolat.« Satsuki-san, je crois qu’il va falloir que vous lui donniez un nom, car je doute que l’appeler Médor ne lui plaise, même si je suis convaincu que ça lui irait bien, mais que voulez vous. »

    « J’en ai peut être un, d’un manga que j’ai lu il y a des années. Il me fait penser au héros. Mais comme Peacemaker n’est pas un prénom (enfin, je ne crois pas, et puis il n’a pas l’air d’un grand pacifiste dans l’âme), je pourrais l’appeler... »

    ...

    « ...On se réveille, Mr Kirasagi. »

    ....

    « Lève toi où je te sors de là de force. »

    ...

    « KUROGANE! »

    Il se retrouva sur le sol sans même savoir comment. Son corps avait juste le souvenir de la douleur sur ses chevilles qu‘on avait fermement saisies. Le jeune adolescent jeta un regard plein de haine à l’homme, qui, de haut, le fixait avec des yeux impassibles, et cette éternelle sucette en bouche. Ou quoi que ce fut d‘autre d‘horriblement sucré et détestable pour lui.

    « ...Décidément, il va falloir qu‘on t‘apprenne à être aimable au réveil. Un bon chien est aimable dès le réveil. Satsuki ne te dresse pas assez bien. Allez, fais tes pompes et dépêche toi, Hitsugi-sama t’attend pour ton entraînement. »le sermonna-t-il, en quittant la pièce, tandis que Kurogane, fou de rage, s’acharnait contre le sol qu’il repoussait de ses paumes.


    Il comprenait maintenant, l’après midi venu, depuis qu’il avait son oreille collée contre le shôji qui le séparait, lui et les trois autres successeurs de la Salle du Conseil des Quatre Grands. C’était son inconscient qui le luit avait rappelé, et il réalisait maintenant qu’aujourd’hui encore, il était le sujet de la conversation que les enfants essayaient désespérément d’entendre. Ou du moins, des bribes de celle-ci. Seul Kurogane, qui avait les capacités sensorielles les plus entraînées arrivait à saisir quelques mots, et prononçait des paroles intelligibles, signes de son agacement, car il ne saisissait pas tout ce qui était dit, et cela l’angoissait. Par dessus tout ce que pouvait dire son maître de lui. Mais seule la voix de Daikirai était à peu près claire.

    « ...Il reste toujours la possibilité qu’il nous trahisse. Maintenant que nous avons la fortune, il ne nous est pas indispensable. Cependant, plus il grandit, et plus je pense qu‘il ... »

    Kurogane se mordit les lèvres, et tenta de se concentrer plus encore pour entendre la suite, malheureusement, et comme par coïncidence, il prit le sarcasme perfide de Chie en pleine face. Elle aurait bien ri si elle avait entendu les premiers mots du parrain. A présent, Kurogane se mordait les lèvres jusqu’au sang. Sale petite hypocrite. Dire que s’il ne se retenait pas, il lui aurait balancé ses quatre vérités en face. La colère monta peu à peu en lui, et devint si forte, qu’il ouvrit la bouche pour lui crier quelque chose, mais se tut immédiatement, à la vue de la personne qui venait d’ouvrir le shôji. Le jeune garçon s’inclina malgré lui en signe de respect, contenant cette explosion de haine envers la petite brune aux yeux verts qui avait failli surgir, et suivit son maître sans dire le moindre mot. Pourtant, dans ses yeux écarlates coulait le sang de Chie qui marchait devant lui.

    Tous trois s’inclinèrent à l’entrée du dôjô, rentrèrent, et s’assirent. Deux fourreaux, et pour seul rumeur brisant le silence de marbre qui s’était installé, la voix paisible mais sévère d’Hitsugi-sama qu’il admirait tant. Quoi? Partir en mission, avec cette petite peste? Il en était hors de question, cependant, avait-il vraiment le choix? Et... Apparemment, c’était encore une fois un test, peut être pris comme décision du conseil. Dans ce cas, il n’avait pas le droit à l’erreur. Il n’y avait donc qu’une seule chose qu’il pouvait se permettre de demander à cette froide poupée à la peau aussi blanche que le marbre, et qui vint en un sourire, avec ces mêmes mots à quoi s’attendaient les deux femmes:


    « ...Et en quoi consiste-t-elle? »

    Il avait toujours aimé les défis. C’était peut être une des seules rares choses qui le faisaient sourire en ce monde. Même si persistait au fond de lui l’angoisse de ce qu’on avait dit et de ce qu’il adviendrait de lui, Kurogane n’était pas prêt de se laisser abattre. Il allait leur montrer de quoi était capable celui qu’ils surnommaient le chien, avec ou sans insupportable Chie pour co-équipière.
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