Elena [ Fiche terminée ]

I. Identité

• Nom : Osora
  
• Prénom : Elena
  
• Âge : 22 ans
  
• Date de naissance : Elle l'ignore
  

II. Contexte Historique

• Nationalité : Anglaise
  
  
• Famille : Elena n’a jamais connu ses vrais parents, elle peut juste supposer qu’elle est d’origine anglaise car c’est la langue qu’elle pratiquait étant petite. A l’âge de six ans elle s’est retrouvée en train d’errer dans les rues du Japon sans souvenirs antérieurs avant d’être confiée à un orphelinat trois mois plus tard. Elle fut alors ballotée de familles d’accueil en familles d’accueil sans jamais rester bien longtemps au même endroit. Deux ans plus tard, le jour de ses huit ans elle fut enfin adoptée par un couple de policiers. La fillette s’attacha rapidement à sa nouvelle famille, heureuse de recevoir enfin un peut d’amour.
  
  
• Histoire :
  

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III. Informations Complémentaires

• Apparence Physique : Elena possède des cheveux épais et fluide qui tombent légèrement en cascade sur ses épaules et qui finissent leur course au niveau des coudes. Ils sont aussi noirs que l’ébène et une mèche est mise en valeur par une longue perle de couleur noir et or. La jeune femme change souvent de coupe : bouclés, lissés, tressés, tirés en un chignon bien serré… Elle aime la diversité et apparament cela plaît aussi aux autres.
  
  Son visage est ovale, ses pommettes sont hautes, ses traits sont lisses et bien dessinés et son petit nez droit qui se retrousse joliment au bout se trouve juste au-dessus d’une fine bouche rose. Ses yeux bleu azure, surmontés par de fins sourcils noirs, sont mis en valeur par de longs cils. Sa peau est mâte naturellement. Elena fait très attention de ne pas montrer ce qu'elle ressent, c'est pourquoi la plupart du temps sont visage et fermé, inexpressif et elle paraît froide même plutôt hostile pour certaines personnes. En vérité la jeune femme cherche à cacher sa véritable nature et se qu'elle éprouve pour mieux se protéger.
  
  Elena mesure environ un mètre quatre vingt, sa silhouette est fine et élancée et son corps musclé par l'entraînement quotidien qu'elle s'impose. Etant membre de la mafia, elle se doit d'être toujours en forme et d'avoir une bonne condition physique. Elle s'entraîne également beaucoup au combat où elle excelle, mieux vaut savoir se défendre dans le monde d'aujourd'hui. Sa démarche est souple et pleine d'aisance même si en vérité elle doute souvent d’elle - même.
  
  Question vestimentaire Elena fait très attention. Elle varie souvent les tenus en fonction de ce qu’elle doit faire dans la journée : Une visite " courtoise " à un client, faire taire quelqu'un qui devient agaçant et bien d 'autres choses encore. Le moins que l'on puisse dire c'est qu'elle n'a pas le temps de s'ennuier. Ainsi elle sait se rendre désirable et se faire discrète lorsqu’il le faut. La jeune femme aime assortir ses vêtements et n'oublie jamais les accessoires que ses oit des bijoux ou armes. Elle ne sort jamais sans sa paires d'éventails qu'elle a fait spécialement frabriquer lorsqu'elle est entrée dans la mafia. Mais à quoi lui sert ses éventails ? A se battre pardis mais elle possède tout de même une arme à feu en complément.
  
  
• Caractère : Elena est une personne très calme, pour réussir à la faire sortir de ses gonds il faut vraiment insister et la provoquer à chaque fois que l'on a l'occasion. Si elle s'emporte se sera si on ne la respecte pas, si on ne suit pas les accords d'un contrats malgré de nombreux rappels à l'ordre ou encore si on dit sans arrêt des remarques idiotes et sexistes. ( Ce qui est malheureusement très fréquent dans le monde de la mafia, les hommes pensent être supérieurs ... Ben voyons ! ). En tout cas ce n'est pas le genre de personne à se laisser marcher sur les pieds et elle n'hésitera pas à faire ce qu'il faut pour mettre les choses au point.
  
  Heureusement, la jeune femme est patiente et obstinée, depuis qu'elle occupe le métier de monnayeuse elle a réussit à décrocher beaucoup de contrats. Elle sait se montrer persuasive, utiliser les bons mots et appuyer là où ça fait mal. Elena a ce que l'on appelle " une grande gueule " et n'hésite pas à dire le fond de sa pensée, sa franchise ne plaît d'ailleurs pas à tout le monde, mais peut importe, elle ne changera jamais pour le bon plaisir de quelqu'un.
  
  Si l'on devait citer une autre qualité ce serait sans aucun doute : l'écoute. Elena est quelqu'un à qui on peut se confier en étant sûre qu'elle ne dévoilera rien à personne ( sauf si cela met en danger la famille Hiroki ou que cela peut servir ses intérêts ) . La jeune femme est consciente que chacun à son passé, son histoire, ses problèmes et ne refusera jamais une conversation. Elle sait se taire et écouter, cela lui fait plaisir lorsque l'on se confie à elle. Bien sûr elle est consciente qu'il est difficile de forger des amitiés durables, qu'il vaut mieux ne faire confiance à personne mais c'est dans sa nature. Peut être que dans ces moments elle a l'impression d'avoir une certaine importance, dans le monde d'aujourd'hui on a tendance à être fataliste et à ne plus respecter la vie.
  
  Même si en apparence elle paraît sûre d'elle ce n'est pas du tout le cas. La jeune femme cache avec succès et enfuit une partie d'elle - même qui peut la faire craquer à tous moments. En effet Elena doute souvent, elle se pose énormément de questions sur tout : Où est la limite entre le Bien et le Mal ? Si le Japon n'avait pas explosé que serait - il arrivait ? Si elle n'avait pas pris ce chemin que serait - elle devenue ... Tant de questions qui l'empêchent souvent de dormir le soir, des questions, la plupart du temps insensés, mais qui refusent de partir.
  
  Ainsi la jeune femme s'est forgée deux visages, deux personnalités pour " survivre " au sein de la mafia. Mais depuis un certain temps une chose la préoccupe, ses doutes commencent à disparaître même lorsqu'elle est seule elle garde la même expression glaciale. Elena perd le contrôle, elle est impuissante et ne regrette pas vraiment que la pire de ses personnalité prenne le dessus.
  
  
• Aime : Elena adore avant tout la bonne cuisine et ne manque jamais une occasion pour goûter à tout, c'est aussi pour cela qu'elle mange souvent au restaurant. La jeune femme aime également son métier, non pas pour l'argent mais parce qu' il faut savoir maîtriser l'art de la parole, regrouper les bonnes informations et surtout on ne s'ennuie jamais ! Pour finir elle n'oublie jamais de s'entraîner, chaque jour elle effectue les mêmes exercices. C'est important pour elle d'avoir une bonne condition physique et surtout de bien paraître.
  
  
• Aime pas : Au début, tuer était très dur pour la jeune femme. Elle ne dormait plus le soir et n'osait même pas cligner les paupières. A chaque fois que c'était le cas, elle se revoyait presser la détente, le sang gicler et l'expression d'horreur se peindre sur le visage de sa victime. Mais depuis peut de temps ce sentiment de culpabilité ne l'atteint plus ... La jeune femme n'éprouve plus aucun sentiment lors du moment fatidique et cela l'inquiète lorsqu'elle se retrouve seule.
  Si il y a bien une autre chose qu'Elena ne supporte pas ce sont les hommes machos et trop sûrs d'eux. Leurs remarques sexistes, leurs regards trop appuyés .... Haaaa ... Si elle pouvait s'occuper d'eux mais malheureusement ils sont bien trop nombreux !
  

IV. Autres

• Rêve, Ambition : Se faire une place plus grande dans la mafia, être plus respecter et même si elle aime son métier actuel, pourquoi ne pas changer pour quelque chose d'encore mieux ?
  
• Cauchemar, Phobies : Etre blesser ne la gêne pas, même gravement. Mais la mort c'est une autre histoire.
  
• Groupe : Mafia – Famille Hiroki
  

V. Facultatifs

• Signes particuliers : Elle a toujours une longue perle sur une mèche.
  

VI. Hors Jeu

• Comment avez-vous connu le forum ? : Grâce à un partenariat sur mon forum
  
• Que pensez vous du design du forum ? : J’aime beaucoup le côté sombre
  
• Que pensez vous de l'intrigue du forum ? : Elle est intéressante et complexe, c’est rare de voir un forum si bien soigné !
  
• Des remarques ? : J’espère que ce forum vivre longtemps ^^
  
• Avez vous lu le Règlement ? Bon Code
  

" Comment t'apelles - tu ? "
" Je ne sais pas "
" Alors se sera Elena pour que tu te souviennes d'où tu viens. Ce nom te plaît ? "
" Oui "
" Alors allons - y ! "

La fillette fixa quelques instants la main que l'homme lui tendait. Elle ne savait pas quoi faire, du moins elle n'en était pas sûre. Elle regarda la dame de l'orphelinat et celle - çi l'encouragea avec un grand sourire. La fillette se décida enfin et serra la main qui s'offrait à elle, cette fois - çi il fallait que se soit la bonne, personne à part lui ne s'était donné la peine de lui trouver un nom et elle sentit quelque chose naître au creux de sa poitrine. C'était un sentiment encore inconnue pour la petite et elle n'aurait pus l'expliquer à ce moment.
Elle leva timidement les yeux vers l'homme qui désirait être son père, ce mot lui sembla étrange, lointain, il sonnait faux dans sa tête. Mais une chose effaça ce sentiment : son regard. Il était si doux ! personne ne l'avait jamais regardé comme cela auparavant. La fillette sourit pour la première fois et ils se dirigèrent ensemble vers la sortie, main dans la main.

Elena se tenait droite comme un " i " au bout de l'allée, elle fixait la maison sans broncher se demandant si elle allait vraiment vivre ici. C'était un quartier calme, plaisant qui contrastait fortement avec le reste de la ville, il semblait sortir tout droit d'un autre monde. Une main vint frôler légèrement son dos et cela suffit à la faire avancer, la porte s'ouvrit et Elena se retrouva face à un escalier qui donnait l'accès à l'étage supérieur. Elle tourna la tête et découvrit une entrée qui donnait sur le salon, sur sa gauche un long couloir menait à la cuisine. C'est alors que l'enseignement qu'on lui avait donné à l'orphelinat lui revint en mémoire et la fillette enleva vite ses chaussures avant de les mettre de côté, parfaitement alignés. Son nouveau papa s'engagea dans le couloir et elle lui emboîta le pas, ils entrèrent tout deux dans la cuisine et Elena dévisagea une femme qui se tenait prêt de la fenêtre. Celle - ci tourna la tête vers son mari et ils échangèrent un regard inquiet, un sourire crispé était dessiné sur ses lèvres et elle tordait un mouchoir dans ses mains. Elena ne comprenait pas pourquoi l'atmosphère était si tendue. La fillette prit la parole sans se poser la moindre question, elle alla droit au but.

" C'est vous ma nouvelle maman ? "

La femme parut plutôt surprise, elle s'était préparer des jours avant pour avoir la meilleure attitude avec cette enfant, elle s'était attendu au pire, s'était préparer pour de longues semaines difficiles. On l'avait prévenu que ce n'était pas évident d'adopter et qu'il fallait un temps d'adaptation à l'enfant pour s'habituer à sa nouvelle famille. Toutes ses certitudes s'éffondrèrent d'un coup et elle lui répondit d'une voix hésitante.

" Je ... Oui en effet "

Elena sourit, pour la première fois de sa vie elle était heureuse et sentait que tout se passerait bien. Elle n'était qu'une enfant à cette époque et pourtant rien n'aurais pus la faire changer d'avis. Elle avança alors, doucement, fit un pas, puis un autre et entoura de ses bras la taille de sa nouvelle maman.




" NON ! ... Arretez ! "

Les larmes roulèrent sur ses joues, des larmes de douleur et de tristesse. Pourquoi donc ces filles s'achernaient sur elle ? Elle n'avait pourtant rien fait pour attirer leur attention ! Elle eétait restée seule dans son coin, comme toujours ... Par reflexe elle cacha son visage, elle essayait de leur faire obstacle avec l'aide de ses mains mais cela ne servit à rien. Une des cinq fille commença à lui tirer les cheveux et elle gémit de douleur. Pourquoi ?

" Sa suffit ! Laissez - là tranquille ! "

Mao ouvrit les yeux et écarta ses doigts d'un centimètre. Une jeune fille de son âge se précipita vers le petit groupe et se posta devant elle pour la protéger. Mao était plus qu'étonnée par cette attitude, elle ne savait pas qui elle était car la seule chose qu'elle voyait c'était ses jambes et elle n'osait pas lever la tête.

" Cinq contre une c'est facile ! Allez martyriser quelqu'un d'autre ! "
" Toi ! Ne te mêle pas de ça et enlève toi ! "
" Non je ne bougerais pas, va - y frappe moi mais sache une chose : je ne renderais tous les coups. "

Elle leva enfin la tête et regarda, ls yeux écarquillés, sa sauveuse. Elle la reconnaissait enfin, la jeune fille s'appellait Elena et se trouvait dans la même classe qu'elle. On ne pouvait oublier une telle personne, elle se distinguait des autres par son physique et son caractère. Elena s'accroupit devant elle et Mao eut un mouvement de recule, elle regretta tout de suite son geste.

" Mon nom est Elena, soyons amie veux - tu ? "

Cette fois - ci la machoire de Mao se décolla, elle n'avait jamais eut d'ami et se demandait si c'était une blague. Comprenant sa méfiance, Elena lui tendit la main et l'aida à se relever. Mao garda un long moment les yeux fixés sur sur les mains jointe puis ...

" Daccord "

Elena sourit.




Des années plus tard les cerisiers étaient en fleur, leurs pétales d'un beau rose pâle voletaient dans les airs créant une atmosphère magique. Les gens étaient généralement de bonne humeur à cette époque de l'année et des éclats de rires cristallins retentirent comme pour appuyer ces dernières paroles. Deux jeunes filles marchaient côté à côté, riant à en avoir les larmes aux yeux, elles étaient toutes les deux vétues d'un uniforme de lycéenne et mangeaient des glaces. Leur conversation semblait très animée et les gens se retournaient sur leur passage, ils étaient étonnés ou encore outrés par une telle atitude que ne devrait pas avoir les jeunes filles.
Ces dernières ne faisaient pas attention, comme si elles étaient les seules au monde. Apparament elles parlaient du passé, se rappelant chacune des anecdotes qui les ont marqué. L'une d'elle s'arrêta de marcher, elle avait les yeux bleu et un teint très pâle, elle n'était pas japonaise comme son amie. L'autre qui n'avait pas remarqué son absence se retourna soudain en lui demandant ce qui lui arrivait, comme elle ne répondait pas elle la rejoignit. La jeune fille aux yeux bleu lui demanda si elle se souvenait du jour où elles étaient devenues amies, Mao acquiesa. Comme elle avait changé depuis ! Elle avait pris confiance, c'était épanouit et n'avait plus jamais quitté Elena. Grâce à elle , les autres filles de l'école avaient arrêté de la martyriser et quelques semaines plus tard les affaires de son père s'étaient arrangées, comme si tout était lié ...
Elena secoua la tête répliquant qu'elle n'était pour rien dans tout ça, elle lui avait juste donné un coup de pouce. Son amie changea alors de sujet, lui demandant si elle avait des nouvelles de ses parents mais celle - çi secoua la tête en signe de négation. Ils étaient tous les deux policiers et partaient souvent régler des affaires, des fois cela durait longtemps et Elena s'inquiétait. Finalement elle prit Mao par le bras et les deux jeunes filles quittèrent le parc, sans un mot elles s'approchèrent du passage piétons et attendirent que les feux passent au vert.
C'est alors que tout bascula dans la vie d'Elena, elle ne les avait pas vu arriver, elle aurait du pourtant ! Une voiture noir s'approcha, au ralentit, une fenêtre s'ouvrit, une arame apparut et un coup de d'étonnation retentit. Elena ne comprit pas ce qui se passait, elle se tenait là, droite, le teint livide et les yeux écarquillaient pendant que Mao s'éffondrait lourdement sur le sol. Quand la voiture s'éloigna Elena retrouva enfin toutes ses facultés. Elle se jeta sur la corps de son amie et son cris déchira l'air, elle lui cria de se relever, de ne pas mourirn de ne pas la laisser toute seule mais rien n'y fit. Mao gisait là, inerte, les yeux grands ouvert et Elena pleurait. Elle serra son corps contre le sien, il était encore chaud. Quand les secours arrivèrent il était trop tard, trop tard ... Elle était déjà morte, oui, déjà morte depuis longtemps.




" Elena ton père et moi sommes si fières de toi ! "
" Merci maman "

La jeune femme prit sa mère dans ses bras et la serra aussi fort qu'elle le pouvait, elle en fit de même avec son père. C'était la première fois qu'elle était heureuse depuis le meurtre de Mao, la première fois qu'elle souriait. Elle avait enfin réussit et venait d'entrer dans la police, c'était le but qu'elle s'était fixée il y a bien longtemps, pour elle ... pour Mao.
Des années auparavant une enquête avait eu lieu mais son meurtrier ne fut jamais retrouvé, Elena avait alors ressentit unee profonde haine, frustration et culpabilité. Elle avait vu l'homme qui avait appuié sur la détente et elle n'avait rien dit.

" Je n'ai rien vu, tout c'est passé très vite. "

A l'époque elle n'avait pas comprit pourquoi elle n'avait rien dit aux policiers, aujourd'hui elle le savait. C'était elle et elle seule qui allait retrouver cet homme pour el tuer de ses mains. C'est ce qu'elle fit ... Ses recherches avaient prises des semaines, elle avait ressorti le dossier de son amie et s'était rendu compte que la police avait plus d'information qu'elle le laissait entendre. Ainsi Elena avait découvert que le meurtre de Mao était dû à la bêtise de son père, cet idiot avait emprunté de l'argent à la mafia pour relancer son entreprise et quand c'était le moment de rembourser sa dette, il a refusé. On peut deviner la suite, pour lui donner une bonne leçon sa fille payerait de sa vie. La jeune femme poussa un cris de rage, se leva et renversa par terre tout ce qui se trouvait sur son bureau. Elle finit par se rasseoir pour pleurer toute les larmes de son corps. Quelques minutes plus tard, quand elle fut enfin calmée elle regarda le nom de la famille de la mafia concernée, pris son arme de service et sortie. Le lendemain matin on pouvait lire dans les journaux qu'un tueur à gage avait été retrouvé mort une balle dans la tête.



Elena était encore et toujours sur une affaire, depuis un an elle ne faisait que ça. Il y avait un corps sans vie dans une ruelle sombre, elle enquêtait et elle enfermait les méchants derrière les barreaux. Depuis un an elle n'avait plus de vie en dehors de son travail, à un tel point qu'elle s'était forgée une petite réputation dans la rue et dans la police. Elle était jeune, elle avait tout juste 21 ans et elle était obsédée par les enquêtes. Elena n'avait même pas voulue de jours de congès à la mort de ses parents.
La jeune femme soupira en ouvrant la portière de sa voiture qu'elle claqua aussitôt après. Il pleuvait ce soir là, Dieu qu'elle détesté la pluie ! Elle entra très vite dans le bar, quelques pairs d'yeux se braquèrent sur elle un bref instant mais elle n'y fit pas attention, elle avait déjà repéré la personne à qui elle voulait parler.

" Ho merde Osora lâche moi ! "
" Tu peux toujours rêver. "

La jeune femme s'assit en face de lui et le détailla, il avait la quarantaine mais semblait bien plus vieu à cause des rides autour de ses yeux. Elle fouilla dans son sac et en sortit des photos qu'elle étala sur la table, l'homme n'y jeta même pas un regard.

" Tu sais très bien que je ne te donnerais rien alors pourquoi venir chaque soir ? "
" Parce que je sais que tu finiras par cracher le morceau ! "
" Tu sais bien que c'est faux, tu cherches autre chose. "

Elena tressaillit tandis que son interlocuteur allumait tranquillement une cigarette.

" Tu es douée, tu devrais faire quelque chose d'autre. Elena tu passes ton temps à courir après les tueurs à gage et mafieux et tout ça pourquoi ? Pour qu'ils sortent de prison seulement un mois plus tard. Tu t'acharnes mais ça se voit que tu n'y crois plus. "

La jeune femme ne dit rien, elle était troublée et ne voulait pas le montrer, hors elle savait très bein qu'aux moindre gestes elle se trahirait. Cet homme avait sans le savoir raison, depuis un certain temps elle n'y croyait plus. C'était san doute pour cela qu'elle redoublait d'éffort, pour se convaincre que ce n'était pas vraie, qu'elle ne ressentait pas ça. La monde est noir, pourrit et tapissait de sang ... Elle avait baissé les bras.

" Je ne comprend pas ce que tu veux dire. "
" Il est temps que tu passes dans l'autres camp ! "

Hello et bienvenue !

Quelques ramarques comme ça vient.

Tout d'abord, orthographe grammaire : Même si c'est lisible, j'apprécierais que tu relises pour corriger les accords (des pluriels qui manquent) et les terminaisons des verbes (confusions entre é/ais/er qui devraient disparaître). De plus il y a aussi quelques trucs mineurs du genre ces/ses, sont/son, et un petit peu d'orthographe classique.

Ensuite pour le contexte.

Comme il est inscrit en toutes lettres sur le forum, il est conseillé de faire des personnages japonais (et en générla, pour les connaisseurs, quand l'administration dit "grenouille", on se met à sauter sans poser de question). Dans le cas présent, je n'ai rien vu qui justifiait un personnage étranger plutôt qu'une japonaise. Si le point était justifié/nécessaire/expliqué, on pourrait en discuter mais là, cela semble être une simple raison esthétique... Pour coller à l'avatar peut être ? Dis moi ce que tu en penses.
(Note, surtout qu'après 66 ans sous le dôme, les parents sont sans doute de deuxième génération au moins...enfin bref...)

Phobie : tu indiques qu'elle n'a pas peur d'être blessée mais un peu de la mort. Je pense que ce n'est pas nécessaire. Indique une phobie ou dis qu'elle n'a peur que de la mort... Le fait qu'elle accepte les blessures comme une réalité a plus sa place dans l'histoire (par une annecdote) ou dans le caractère.

Les éventails : comment les utilise-t-elle ? Où a-t-elle appris à se servir de cette arme plutôt que d'un bête flingue efficace, mortel etc. ?

Sur l'avatar, elle n'a pas le teint mat... ^^

Le reste du contexte, tel qu'il est inscrit dans l'histoire du personnage m'inspire les remarques suivantes :

Vu les pluies acides et les conditions internes au dome de T-II, il y a peu de chances de voir des fillettes se ballader tranquillement sous des cerisiers en fleurs dans la brise du soir par une belle fin d'après midi de printemps... Je vois plutôt des arbustes à moitié morts réduits à quelques chiquots maladifs qui essaie de survivre une année de plus et qui ont peut être à peine réussi à produire une seule et unique fleur à eux tous...

Tu parles des "secours" quand Mao se fait cribler de balles. Il n'y a pas de service d'urgences, au mieux un idéaliste qui passe par là et qui va donner un coup de main. Mais cette race est en voie de disparition (on n'en a plus vu depuis un bon moment) et il y a toutes les chances qu'il s'agisse d'un violeur en quête de proies faciles....

Police : je conseillerais de changer pour utiliser plutôt quelque chose comme "employé de sécurité du gouvernement" ou du Ministre... En effet, le contexte se prête mal à une force de police organisée comme on les connaît. Il y a Justice qui est plus ou moins en mage de la société. Sinon, c'est la police personnelle du ministre, gardes du corps, mercenaires, forces de sécurité etc.

Lycéennes/écoles : il n'y a plus de système d'éducation publique à T-II, c'est une dépense que le gouvernement ne peut pas se permettre et de toutes façons, tout le monde s'en tamponne l'oreille avec une babouche : les gamins sont mieux à bosser pour faire des sous qu'à étudier des trucs qui ne les empêcheront pas de se faire tuer ou pire dans la rue...
Si elle a reçu une éducation, ça peut être par une sorte de précepteur privé sans doute pas officiellement accrédité qui aura été payé par les parents des élèves (quelques familles moins fauchées que la normale qui accordent encore un peu de valeur au savoir).

Le père : celui qui a emprunté à la mafia et qui ne voulait pas payer, c'est bien le père de Mao ?

Fin : on aimerait en savoir plus sur comment elle a changé d'allégence pour se retrouver dans la mafia. Un simple "Ah bah ouais finalement je sers à rien là, autant me faire du fric" suivit d'un "Hey ! Salut ! j'étais flic, mais maintenant, je suis avec vous", est un peu décevant ;)

voili voilo, dis moi ce que tu en penses !

Qu'elle correction dîte moi ! Je me sens toute petite maintenant. Tout d'abord merci d'avoir lu ma fiche en entière, ensuite je corrigerais tout cela ce week-end car demain je ne pourrais pas ni ce soir.

Alors pour les fautes d'orthographe je suis désolée, j'ai honte je vais encore relire.

Pour la phobie je vais trouver mieux.
Les éventails j'ai des arguments en tête mais je préfère les enlever ! C'est idiot tu es raison.

Ensuite même si il est conseiller de faire des personnages japonais ce n'est pas obligatoire. De plus je ne vois pas pourquoi je ne pourrais pas ! Je m'explique ce n'est pas parce qu'il y a un dôme depuis 66 ans qu'il n'existe pas différentes nationalité au Japon. Avant que tout ceci se produise il n'est pas impossible qu'un famille anglaise ai décidé de s'installer au Japon puis après logiquement il y a une décendance. Bon c'est un peut tiré par les cheveux mais on ne sait jamais ce que la vie nous réserve. En tout cas j'en ai parlé il y a pas mal de temps sur msn avec Tsukiyo et elle m'avait dit oui ^^

Le teint mate c'ets une erreur, dans lhistoire je dis bien qu'elle a le teint pâle ...

En effet les cerisiers en fleurs ce n'est pas approprié et pour l'école je pensais qu'il y avait comme même quelque chose, de même pour les services d'urgence. En ce qui concerne le mot police est ce que je peux mettre " justice " à la place ?

C'est bien le père de Mao qui a emprunter de l'argent à la mafia.

Et pour la fin je conçois qu'elle ne soit pas suffisante je développerais plus.

Je vais vérifier pour la nationalité. Je fais appliquer les règles telles qu'elles doivent être appliquées, c'est à dire sans étrangers. Ensuite, si les admins me disent qu'ils font une exception, ok, mais pour moi, ton personnage en tant que tel n'a aucune raison d'être étranger (cad que si elle était japonaise, rien dans l'histoire ne changerait).
Pour ce qui est de la descendance, il faut, dans l'état actuel, qu'elle ait été conçue 44 ans après la construction du dôme, donc, selon toute probabilité, les parents sont déjà nés dans T-II eux aussi... ça complique encore les choses...

Enfin, on verra.

Pour la justice, "Justice" c'est une organisation "secrête" en quelque sorte... ça compliquerait pas mal l'histoire à mon avis. Je conseille de lire dans les clans ce qui est dit sur Justice, ça pourrait aider.

voili voilo !
Prends ton temps !