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 Mikkan Otome, alias Mikkey. [PROSTITUÉE]

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Mikkan Otome

Mikkan Otome


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MessageSujet: Mikkan Otome, alias Mikkey. [PROSTITUÉE]   Mikkan Otome, alias Mikkey. [PROSTITUÉE] Icon_minitimeDim 9 Aoû - 14:47

MIKKAN OTOME


I. RP
    T’as toujours voulu connaître mon passé, Julia ? Eh bien assis-toi, et écoute. Je ne suis pas comme toi, je ne suis pas un monstre qui aime le sang, je suis un monstre sans cœur.

    Début du Récit.

    Il y a des jours où je me demandais si cette femme n’avait point de regret à avoir donné vie à celle qui aurait provoqué sa fin, à un monstre mental, à quelque chose qui serait presque inhumaine ? Je ne sais pas, je n’ai toujours pas eu sa réponse, elle est partie avant même d’avoir pu me donner une raison. Je ne suis pas une psychopathe, le meurtre n’est pas franchement quelque chose d’agréable à voir. Et je ne suis pas si inhumaine, je suis simplement trop insensible à ce qui m’entoure. Je n’arrive pas à verser une moindre larme. Pas même pour l’acte malveillant que j’ai commis. J’en suis consciente, j’ai massacré le seul être qui m’était cher, parce qu’elle ne voulait plus que je reste auprès d’elle. Je n’étais pas un pot de colle, mais quelqu’un qui ne pouvait pas vivre sans cette femme. Hana Otome, j’espère que tu auras pu t’échapper de l’enfer, en y laissant ta progéniture à ta place. Ne m’en veut pas pour ce que je t’ai fait, et contente-toi de garder le sourire, et à toujours me veiller, même si ton corps chaud n’est plus là.

    Je me souviens vaguement du jour où je suis née. Je me souviens de ce que tu m’as dit. C’était par une nuit d’avril, ou la nuit était encore fraîche, et d’où l’on sortait d’un hiver épouvantable. Tu as du demander du soutien en matière financière aux hommes que tu promettais de les rembourser avec ton corps. Tes clients fidèles ne t’ont jamais refusé ce service unique. Tu leurs promettais aussi que tu reviendrais les voir au bout de sept ans, quand je serais suffisamment consciente de mon existence pour pouvoir me laisser seule à la maison. Pendant des années, nous vivions sous le toit d’un inconnu, qui t’a proposé, en échange de ton corps bien entendu, de te laisser vivre chez lui, et que le bébé que j’étais ne serait pas une gêne pour sa vie quotidienne. Dans la quarantaine, et pourtant pas très charmant, ce célibataire crut vivre un rêve, celui d’une vie de famille. Mais tout s’arrêta.

    Durant sept années, j’apprenais, ou plutôt je reproduisais tout ce que faisait cette femme, Hana. Je ne l’appelai que très rarement « Maman ». Peut-être uniquement lors de mes crises de somnambules, où plus d’une fois, je ne cesser de l’appeler par ce surnom. Je n’ai jamais connu la raison de ces crises, mais cela ne risque plus de m’apporter grand-chose. Je n’ai jamais été séparé d’Hana pendant cette période qui semblait si simple, pas même la nuit. Mais aujourd’hui, je me repose la question : était-elle présente à mes côtés toute la nuit ? Ou bien s’amusait-elle avec l’homme qui nous hébergeait ? La seconde option était la plus fiable si on la comparait à la situation de l’époque. Il ne pouvait nous héberger gratuitement, c’était quelque chose de presque inimaginable. Mais n’oublions pas qu’à l’époque, je n’étais qu’une simple enfant irréfléchie et qui ne souriait qu’à Hana. Impossible d’y croire que je pourrais vivre une simple minute sans elle. J’étais une vraie malade sur ce sujet, je ne le cache pas. Et la solitude était quelque chose que je redoute le plus.

    Peu après mon septième anniversaire, je ne vais rien exagérer, ma vie aura certes énormément changé, mais ma mentalité ne sera qu’un peu plus mûre. Je ne ferais plus confiance aux grandes personnes, voilà ce grand changement. On se dit parfois, mais qu’est-ce qui a réellement changé ? Je dirais tout. Je ne croyais plus à cet homme, ni à Hana. Je ne me renfermais pas, je l’étais déjà, ma carapace se contente de se renforcer au mieux. Je n’avais pas beaucoup de sentiment, si ce n’est l’angoisse et la peur d’être seule physiquement, mais le reste n’y était pas. Et pourtant, je m’étais fixée un but peu après qu’Hana souhaita me parler. Elle était venue me voir un jour quelconque, remarquant que je la suivais plus tellement, que je me contentais d’être simplement derrière elle. « Qu’est-ce qui se passe ma chérie ? » Je ne répondais pas à cette question. Il ne se passe rien du tout. Hana soupira, avant de se confier. Ou plutôt, elle me contait une histoire, celle de notre famille, du moins de ce qu’on formait. Elle me racontait que jamais auparavant, les filles Otome n’avait réussi dans l’amour, et avait jeté une grande partie des générations dans la prostitution, dans l’espoir de trouver ce qui leur avait provoqué leurs malheurs. Chacune avait toujours eu une fille unique, et elle n’en échappa pas à la règle. D’après sa mère, Hana confia aussi qu’il n’y a jamais eu de mâle dans la famille. C’était quelque chose de presque insolite, impossible. Mais c’était le cas. Je me contentais de l’écouter, toujours silencieuse. Je ne parle que lorsque l’intérêt m’y pousse. Peu après, Hana me laissa tranquille. Elle ne voulait pas montrer qu’elle avait comprise que sa fille ne souhaitait plus lui adresser la parole. Elle s’était dit que ça passerait, que c’était une simple illusion. T’as raison Hana, c’était qu’une simple illusion. Une illusion trop gentille de ma personne. Tu dois te dire que ta petite Mikkey chérie, elle a changé depuis. Et d’un simple coup de tête.

    Au début, je me disais « Et si je jouais la méchante ? ». Lorsque je participe à un jeu, je deviens sérieuse à ce sujet. C’était quelque chose qui me tenait à cœur. Je conserve à jamais ma moralité de petite enfant, la prostitution était comme un jeu pour moi. Seul l’amour était un sujet où j’étais consciente qu’il ne s’agirait pas d’un simple jeu.

    Retour au présent.

    Je levais ma tête, dirigée vers le ciel sombre comme il était représenté. Je murmurais doucement ces mots « Hana, pardonne-moi de t’avoir envoyé loin de moi. Je n’aurais jamais du jouer à faire la méchante. Est-ce que tu me pardonneras lorsque mon tour viendra, le jour où je me ferais massacrer par mon propre enfant ? Je ne sais pas. J’espère pouvoir te battre, comme vous autres. Moi je saurais trouver ce manque, pas comme toi Hana. Au revoir ». J’y repense … Elle n’a pas eu de tombe à elle. Est-ce que les autres en avaient une ? Encore une question sans réponse Hana.

    Reprise du récit.

    Je me souviens encore de cette odeur que provoquait ton corps. L’odeur du sang. C’était quand déjà ? A partir de quand je t’ai haï. Ah oui, c’était huit ou neuf ans après que j’ai commencé à ce jeu stupide. D’ailleurs, je me demanderai toujours pourquoi je n’ai pas arrêté d’y jouer entre-temps ? C’est vrai, je m’en souviens. C’était de ta faute Hana, quelle bêtise ! Juste parce que je t’ai annoncé qu’un jour je briserai ce maudit cercle vicieux qu’est ce nom Otome, que j’étais capable de trouver une personne rien qu’à moi, contrairement à toutes ces femmes, toi incluse. Je me souviens que j’ai même du le répéter deux fois, histoire de confirmer ce que je venais de te dire. Et toi t’en avais honte. Mais de quoi Hana ? Qu’une fille misérable et sans sentiments comme moi arriverait à quelque chose que toi tu n’as pas pu aboutir ? Tu ne voulais pas briser ce cercle vicieux ? Que des hypothèses sans fiabilités. J’étais perdue Hana, perdue dans un tourbillon d’idée les plus saugrenues, les unes que les autres. Je voulais m’éloigner de toi et jouer la méchante, au point de vouloir fuguer. Mais face à cette porte d’entrée, je me suis retrouvée figée. L’idée de me retrouver seule m’effrayer. Que fallait-il faire, où aller, ect … Au final, t’auras profité de cette situation. T’as décidé de m’oublier. Mais avant, tu voulais t’assurer que ta fille n’arrivera jamais à ses fins. Cette fille que tu as tant aimée, et que tu as finie par détester pour des raisons illogiques, qui n’ont aucun sens. Mais tu voulais en plus que cette enfant te haïs encore plus. T’as bien réussi Hana, je t’ai haï assez pour pouvoir te débarrasser de cette pourriture qu’est le monde.Ça fera bientôt deux ans que t’es partie.

    T’as réussi à convaincre l’homme qui nous hébergeait de venir sous mon lit, et de faire en sorte de me dégouter des hommes. T’as pensé pouvoir réussir en essayant de me violer indirectement ? T’as raison. A moitié. T’as réussi à me faire dégouter les hommes, par l’amour. Mais j’te jure Hana, est-ce que t’avais de l’attachement pour ce gars ? Moi j’sais pas pour toi, mais sache qu’il ne reviendra plus dans ton lit. Peu après son acte, ne pense pas que j’allais le laisser se faufiler en dehors de cette maudite chambre où j’y dormais la nuit. T’aurais du fouiller avant mon lit. Je n’ai pas de l’attachement pour les armes, je l’ai simplement assommé avec un couteau qui se trouvait sur la petite table de nuit, caché dans le tiroir. Je voulais m’amuser avec toi Hana, pas lui. Je l’ai alors simplement tranché la gorge. Je pense pas qu’il a pu survivre, et même si c’était le cas, cela m’était franchement égal. Je toquais fortement dans ta porte, histoire de me faire passer pour ce type, et toi comme une idiote, tu l’as ouverte cette foutue porte. Lors que tu l’as fait, je t’ai enfoncé ce maudit couteau dans le ventre. Je n’avais que quinze ou seize ans, ne pense pas que j’avais réfléchi complètement à agir de la sorte. Je ne suis qu’une enfant après tout. Je voulais me venger. Me venger de ton égoïsme, de ton imbécilité, de ta lâcheté. Et lorsque j’ai ressorti ce sale couteau, le sang n’arrêtait pas de couler, tu commençais même à en cracher. Tu m’as prise dans tes bras non pas pour me réconforter, mais pour que je puisse assister à ta mort. Le meilleur moyen de me faire dégouter de tes gestes. J’ai pleuré dans tes bras, jusqu’à ton souffle cessait. Je m’en voulais atrocement Hana, ne pense pas que je n’ai aucun regret. Mais désormais, je ne veux plus d’obstacle à ma vie, et tu en devenais un …

    Je suis partie en courant de cette maison, mes chaussures écrasèrent la boue. Je suis partie sans savoir où aller. Du moins, pendant une journée. Le temps de découvrir le monde que je ne connaissais pas. Mais Hana, merci. Grâce à toi, j’ai pu connaître Julia. C’était le deuxième jour après ma fuite. Je m’étais cachée je ne sais où, prise de panique. Il faisait noir là-bas, j’avais peur, il n’y avait personne. Je faillis m’étouffer plus d’une fois. Des larmes coulèrent sur ma joue, alors que je ne ressentais que de l’angoisse. J’entendais des pas sous ma tête, qui continuèrent de marcher, quoi qu’ils arrivent. Mais pour aller où ? Ils ont surement une raison. Et je me dégoutais. Je n’en avais pas, de raison, je ne pouvais pas marcher, si ce n’est que pour crever sous la boue. Et c’est là où elle a débarqué de nulle part, sans raison propre. Apparemment elle voulait se cacher, parce qu’elle n’avait pas tout de suite ressentie ma présence. Lorsque ce fut le cas, elle m’a attrapé par le coup, sortait son arme, la pointait sur ma joue, et demanda mon nom. « Mikkey ». Elle disait qu’il fallait me foutre d’elle. Je ne répondis pas. Et un coup de feu retenti.

    Fin du récit.

    Ça te va Julia ? Je sais que depuis, j’ai été obligé de devenir une prostituée pour gagner ma vie, et devenir tienne tous les vendredi soir, en échange d’une somme importante. Et depuis, la routine s’est instaurée entre nous. Je n’éprouve toujours pas d’amour pour toi, et qui sait, peut-être que je m’éprendrais pour un autre, homme ou femme. Ce jour-là, t’as tiré un type qui t’avait trouvé, et tu m’as entraîné dans une course folle jusqu’à ton « abri ». J’y vis avec toi depuis un an, mais nous nous voyons que le vendredi dans un bar. C’est un peu bête comme style de relation ? Mais qu’importe, tant que tu me donneras des sommes importantes en échange de mes services, je continuerai à te suivre. Tu trouves que j’suis bête ? Ouais, surement. Mais tu vois, cette marque que tu m'auras laissé sur mon bras droit, ce tatouage qui marque le fait que je t'appartiens à vie, je te promets qu'un jour, il s'effacera, et ce jour, ça sera celui où l'amour me sourira.


Dernière édition par Mikkan Otome le Dim 9 Aoû - 14:50, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Mikkan Otome, alias Mikkey. [PROSTITUÉE]   Mikkan Otome, alias Mikkey. [PROSTITUÉE] Icon_minitimeDim 9 Aoû - 14:50

II. Identité
  • Nom : Otome
  • Prénoms : Mikkan
  • Surnom : Mikkey
  • Âge : 17 ans
    • Date de naissance : Officiellement, Mikkey serait née le 27 avril 2092.


III. Contexte Historique
  • Nationalité : Japonaise
  • Famille : Sa famille, c’était sa mère, Hana Otome. Mikkey la considérait comme un modèle quasi parfait. Cette jeune femme désormais âgée de 38 ans a plongé dans la prostitution pour une simple et banale cause : elle n’a jamais connu le véritable amour, et plutôt que de perdre son temps à attendre une chose qui pourrait ne jamais exister. Son passé n’est pas un bien grand mystère, elle a été elle aussi élevé par une mère qui était une prostituée. A croire que c’est de famille. Si le nom « Otome » signifie « Vierge », on pourrait le comprendre sous le sens de la virginité de l’amour. Aucune femme au cours des générations ne s’est mariée ou vivait avec un autre partenaire. Coïncidence, il n’y a jamais eu un seul mâle dans la famille, du moins d’après la mère d’Hana.
    Malgré son fanatisme envers sa mère, Mikkey n’aura aucun mal à la massacrer d’une violence extrême. Peu après le fait, ses migraines deviennent permanentes, des regrets lui montent à la surface, et la solitude deviendra quelque chose qui effrayera notre jeune enfant. ( Cf. Histoire )
    Il y a aussi cet homme, dont Mikkey ne se souvient plus de son nom. De toute façon, quelle importance ? Il est parti lui aussi. Mais sous le sol pourri qu’est Tokyo-II.


IV. Informations Complémentaires
  • Apparence Physique : S’il fallait comparer Mikkey à une quelconque chose, on pourrait l’égaliser avec une poupée de porcelaine, mais qui n’est plus en état de satisfaire les jeunes filles nobles. Une poupée sale, qui aurait un œil cassé, sa peau remplie de suie, et ses cheveux dans un désordre total. Ses habits déchirés, nue derrière sa robe, qui autrefois était d’un joli bleu, et est devenue maintenant toute grise. Et bien Mikkey et cette poupée en morceau, c’est un peu la même chose, le même destin pour ces deux là, qui finiront un jour enterrée sous la boue. Quel triste sort pour elles, qui pourtant au départ étaient de magnifiques choses que tout le monde aimerait avoir chez soi.

    Une jeune fille tout à fait banale, qui ne sort pas de l’ordinaire, si ce n’est le bandage qui s’agrippe sur son bras droit. Une enfant qui marche la tête haute, qui ne semble pas avoir peur des grand méchants loups. Du haut de ses un mètre cinquante-huit, sous son corps faible et maigre, se cache une personne qui pourrait sortir, elle, de l’ordinaire. Ne pesant pas plus de quarante-deux kilos, elle serait bien capable de s’envoler au contact d’un vent fort. Mais vivant sous un dôme, difficile de se faire emporter, même par une simple brise.

    Cette fille qui continue de marcher, seule, dans une rue remplie de malfrats, gardant un sourire froid, regardant en face des inconnus qui lui passent sous le nez. Sous ses yeux sombres, on ne voit que le vide. On ne voit que l’envie de renaître. On ne voit que le chagrin et les regrets. Et pourtant, avant d’avoir un visage si froid, Mikkey souriait souvent, malgré les difficultés de la société. Elle avait un visage si simple, si enfantin, si innocent. Mais désormais, malgré ses traits de gamine, on ne peut la comparer à un ange, elle en est déchue. Sa chevelure qui tombait sur ses épaules, d’un noir corbeau et épais. Derrière ses cheveux se trouvaient un piercing à la nuque, que Mikkey prenait soin d’y faire attention. Elle se l’était faite toute seule, comme une grande. Non, en réalité, c’était sa mère qui le lui avait faite, mais Mikkey veut se cacher sous une autre vérité.

    Son corps faible, pâle et remplie légèrement de suie. Elle se contentait de porter une longue tunique, sans manche, qui était simplement blanche, sous un short en cuir noir, avec des collants gris et des escarpins rouges. Pourquoi rester sobre, alors que le luxe pourrait la ravir ? Parce qu’elle n’en veut pas, de ce luxe. Elle veut juste retrouver son sourire d’avant. Cette enfant qui se contente d’avancer droite devant elle, cherchant quelque chose qui n’existe pas.

  • Aime : Spécialement, rien de particulier, sauf lorsqu’il s’agit de sucrerie. Elle considère cela aussi comme une offre en échange de son corps. ( Exemple : sucettes, deux ou trois sacs de bonbons, ect … N’oublions pas que Mikkey conserve toujours son caractère de gamine )
  • Aime pas : Les légumes, les lapins, et le sang depuis le meurtre d’Hana.


V. Autres
  • Rêve, Ambition : Mikkey cherche à briser le cercle vicieux de la famille Otome. Contrairement à sa mère, elle souhaite rencontrer un jour l’amour. Mais avec les difficultés de la société actuelle à Tokyo-II, il est difficile de croire que Mikkey aboutira à son vœu. C’est en vendant son corps que Mikkey va chercher à trouver cet amour qu’elle a perdu auprès de sa mère. Quelque chose qui pourrait la réconforter, et pouvoir faire disparaître ses maux pour toujours. Qui aurait cru que les contes de fées hantent encore les adolescents ?
  • Cauchemar, Phobies : Le vide, la solitude. Mikkey est une personne qui réagit vite, trop vite, et angoisse pour un quelconque manque d’un de ses besoins, à cause de ses migraines permanentes. Du coup, lorsqu’elle se sent oubliée ne serait-ce qu’un petit moment, elle panique très vite, et les conséquences varient des situations. ( Envie de crier, casser tout ce qui l’entoure, frapper sur la personne responsable, ect … ). Mikkey réclame toujours quelqu’un, et ne fais que de mauvais rêves, rêvant toujours la même chose, le jour où elle assassina sa mère.
  • Groupe : Prostitué(e)s
  • Signes particuliers : Mikkey possède un tatouage de serpent se dessinant le long de son bras droit. Ce n’est pas quelque chose d’unique, mais cela lui permet de se distinguer des autres jeunes filles asiatiques.


VI. Hors Jeu
  • Pseudonyme : Kao’ / Mél’
  • Âge : 17 ans
  • Comment avez vous connu le forum ? J’étais inscrite auparavant ^^
  • Comment trouvez vous le design du forum ? Peut-être plus de couleur ? Trop de gris à mon gout =X
  • Comment trouvez vous l'intrigue du forum ? J’aime *o* Ca change quoi !
  • Notez votre présence sur 7 : Actuellement, 7/7. Mais en RP, j’suis une vraie tortue XD !
  • Avez vous lu le règlement ?
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Akuryou

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MessageSujet: Re: Mikkan Otome, alias Mikkey. [PROSTITUÉE]   Mikkan Otome, alias Mikkey. [PROSTITUÉE] Icon_minitimeMer 12 Aoû - 14:41

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MessageSujet: Re: Mikkan Otome, alias Mikkey. [PROSTITUÉE]   Mikkan Otome, alias Mikkey. [PROSTITUÉE] Icon_minitime

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